Les caresses
by Adeline Lanthenay
lyricscopy.com
{présentatrice:}
"Les caresses", chanté par Madame Lanthenay d´la Scala, chez Pathé Frères
"Où courez-vous, beaux yeux noirs?"
Lui dit-il un beau soir très bougre
Mais sans paraître l´entendre
Elle trottinait toujours
"Ecoutez-moi mon amour,
Je veux vous couvrir de caresses"
Grisés par cette promesse
Ils partirent tous deux
Les caresses, les caresses
Sont de petits papillons de nuit
Sur nos chairs ils s´abattent sans bruit
Et leur doux frôlement nous séduit
Les caresses, les caresses
Sont de petits oiseaux de rubis
Pas un ne les repousse
Quand on veut s´aimer,
Les caresses sont douces
"Oh méfiez-vous des sarments"
Dit-elle en entrant dans sa chambre
Elle étira tous ses membres
Puis délaça son corset
Quelques minutes après,
Elle dit d´une voix rieuse
"Oh soufflez donc la veilleuse,
Réchauffez- moi, j´ai froid"
Les caresses, les caresses,
Sont de petits papillons de nuit
Sur nos chairs ils s´abattent sans bruit
Et leur doux frôlement nous séduit
Les caresses, les caresses
Ont aussi le don de réchauffer
Elles sont polissonnes
Quand on veut s´aimer
Les caresses sont bonnes
Puis ils s´aimèrent sans fin
Et même lorsque vint l´aurore
Je crois qu´ils s´aimaient encore
Quand tout à coup, les yeux las,
Il lui murmura tout bas
"Voici venir le jour ma mie,
Il faut dormir ma chérie
Je suis grisé d´amour"
Les caresses, les caresses
Sont de petits papillons de nuit
Le jour vient, ils s´éloignent sans bruit
Et se cachent quand le soleil luit
Les caresses, les caresses
Finissent aussi par s´effacer
Elles s´arrêtent à la porte
Quand on est gâtés
Les caresses sont mortes.
"Les caresses", chanté par Madame Lanthenay d´la Scala, chez Pathé Frères
"Où courez-vous, beaux yeux noirs?"
Lui dit-il un beau soir très bougre
Mais sans paraître l´entendre
Elle trottinait toujours
"Ecoutez-moi mon amour,
Je veux vous couvrir de caresses"
Grisés par cette promesse
Ils partirent tous deux
Les caresses, les caresses
Sont de petits papillons de nuit
Sur nos chairs ils s´abattent sans bruit
Et leur doux frôlement nous séduit
Les caresses, les caresses
Sont de petits oiseaux de rubis
Pas un ne les repousse
Quand on veut s´aimer,
Les caresses sont douces
"Oh méfiez-vous des sarments"
Dit-elle en entrant dans sa chambre
Elle étira tous ses membres
Puis délaça son corset
Quelques minutes après,
Elle dit d´une voix rieuse
"Oh soufflez donc la veilleuse,
Réchauffez- moi, j´ai froid"
Les caresses, les caresses,
Sont de petits papillons de nuit
Sur nos chairs ils s´abattent sans bruit
Et leur doux frôlement nous séduit
Les caresses, les caresses
Ont aussi le don de réchauffer
Elles sont polissonnes
Quand on veut s´aimer
Les caresses sont bonnes
Puis ils s´aimèrent sans fin
Et même lorsque vint l´aurore
Je crois qu´ils s´aimaient encore
Quand tout à coup, les yeux las,
Il lui murmura tout bas
"Voici venir le jour ma mie,
Il faut dormir ma chérie
Je suis grisé d´amour"
Les caresses, les caresses
Sont de petits papillons de nuit
Le jour vient, ils s´éloignent sans bruit
Et se cachent quand le soleil luit
Les caresses, les caresses
Finissent aussi par s´effacer
Elles s´arrêtent à la porte
Quand on est gâtés
Les caresses sont mortes.