Toi… et ta p'tit' gueul'…
by André Claveau
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T´as une petite gueule qui m´revient
D´abord, j´y ai vu tes mirettes
Du velours noir où ferait la fête
Toute une ribambelle de paillettes
Comme de l´or fin
Et quand tu m´as tendu la main
C´était déjà, sans qu´ça paraisse,
Comme une première caresse
Qu´on échange avec la promesse
D´un lendemain
Des mômes comme toi, on n´en fait pas
Peut-être une seule tous les cent ans
C´est pas vrai que Dieu a fait ça
Que j´ sois devenu ton amant
Et maintenant qu´au petit matin
Ta main repose dans la mienne
J´entends à travers les persiennes
De la rue monter la rengaine
Je sens mon coeur qui fait des siennes
Un vrai vaurien
Y a des chansons qui vous trottent
On n´sait pas pourquoi
Y a des visages qui vous troublent
On n´sait pas pourquoi
S´il faut que je t´explique
Y en a pour jusqu´à demain
C´est l´amour qui rapplique
Sans qu´on lui demande rien
T´as une petite gueule qui m´revient
Et ton sourire à deux thunes
Pour moi, ça vaut plus qu´une fortune
J´irai te décrocher la lune
Un d´ces matins
Toute ma joie, elle est dans tes mains
Mes heures sont couleur pervenche
Et nos baisers en avalanche
Font de tous mes jours des dimanches
Pleins de refrains
C´est encore mieux qu´au cinéma
C´est bien plus fort qu´ dans les romans
Des chouettes comme toi, on n´en voit pas
Ça f´rait trop la pige au printemps
Et puis, moi, j´te connais si bien
Quand le bourdon te turlupine
Sans questionner, je le devine
Alors, j´te prends sur ma poitrine
Là, mon amour, pense à plus rien
Pas plus malin!
T´as une petite gueule qui m´revient
Qui m´revient
D´abord, j´y ai vu tes mirettes
Du velours noir où ferait la fête
Toute une ribambelle de paillettes
Comme de l´or fin
Et quand tu m´as tendu la main
C´était déjà, sans qu´ça paraisse,
Comme une première caresse
Qu´on échange avec la promesse
D´un lendemain
Des mômes comme toi, on n´en fait pas
Peut-être une seule tous les cent ans
C´est pas vrai que Dieu a fait ça
Que j´ sois devenu ton amant
Et maintenant qu´au petit matin
Ta main repose dans la mienne
J´entends à travers les persiennes
De la rue monter la rengaine
Je sens mon coeur qui fait des siennes
Un vrai vaurien
Y a des chansons qui vous trottent
On n´sait pas pourquoi
Y a des visages qui vous troublent
On n´sait pas pourquoi
S´il faut que je t´explique
Y en a pour jusqu´à demain
C´est l´amour qui rapplique
Sans qu´on lui demande rien
T´as une petite gueule qui m´revient
Et ton sourire à deux thunes
Pour moi, ça vaut plus qu´une fortune
J´irai te décrocher la lune
Un d´ces matins
Toute ma joie, elle est dans tes mains
Mes heures sont couleur pervenche
Et nos baisers en avalanche
Font de tous mes jours des dimanches
Pleins de refrains
C´est encore mieux qu´au cinéma
C´est bien plus fort qu´ dans les romans
Des chouettes comme toi, on n´en voit pas
Ça f´rait trop la pige au printemps
Et puis, moi, j´te connais si bien
Quand le bourdon te turlupine
Sans questionner, je le devine
Alors, j´te prends sur ma poitrine
Là, mon amour, pense à plus rien
Pas plus malin!
T´as une petite gueule qui m´revient
Qui m´revient