J'aurais bien voulu
by Babylon Circus
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J´aurais bien voulu pour passer le temps,
Te serrer dans mes bras amicalement.
Mais le temps qui passe n´est pas à tes yeux
Un argument apparemment suffisant.
Alors je reste à ma place et tu restes à ta place,
Mais quittes moi cet air suffisant.
Alors tu restes à ta place et je reste à ma place,
En attendant vivement le printemps.
J´aurais bien voulu t´enlever en voyage,
Une croisière de rêve au pays des mirages.
J´ai cherché un paquebot et c´était la galère,
Les rames étaient trop courte,
Pour atteindre le niveau d´la mer!
Alors je reste à ma place et tu restes à ta place,
Je ne voudrais pas avoir l´air suppliant.
Mais si je reste à ma place quand tu restes à ta place,
A l´automne on attendra le printemps.
J´aurais bien voulu réagir virilement,
Me jeter sur toi, t´arracher tout tes vêtements.
J´ai su rester digne, ou alors un peu niait.
J´en bouffe encore ma casquette, et j´ai du mal à digérer,
Que je suis assis en face, et pas à tes côtés.
Ya tes coudes et ya plus d´place et je n´peux pas rester
Meme si c´est juste en face, c´est juste pas assez,
C´est pas juste tout court et j´me sent comme condamné
J´aurais bien voulu avoir une peche d´enfer,
Te sourire sincèrement, te dire : « Ouais ca va super »
J´ai du mal à mentir surtout quand c´est pas vrai.
J´ai les gonds dans les chaussettes et les godasses sur le point de craquer
J´aurais bien voulu être un de ces gars
Qui ne craint ni la pluie ni la nuit ne le froid.
Au menton carré, qui ne pleure jamais et
Qui s´en va qui s´en va sans regrets,
Qui s´en va qui s´en va sans regrets.
J´aurais tant voulu qu´on en reste la,
Tourner les talons, merci, ciao, basta.
Mais j´ai le cœur en mousse et la tête en bois.
Même si j´ai la frousse ca n´empêchera pas,
De traverser la brousse de braver les froids,
De tendre le pouce pour partir avec toi.
Même la mort aux trousses, ca m´arrêtera pas
Jusqu´à ce que tu m´ouvre la porte de tes bras.
J´aurais bien voulu être un de ces gars
Qui ne craint ni la pluie ni la nuit ne le froid.
Au menton carré, qui ne pleure jamais et
Qui s´en va qui s´en va sans regrets.
Te serrer dans mes bras amicalement.
Mais le temps qui passe n´est pas à tes yeux
Un argument apparemment suffisant.
Alors je reste à ma place et tu restes à ta place,
Mais quittes moi cet air suffisant.
Alors tu restes à ta place et je reste à ma place,
En attendant vivement le printemps.
J´aurais bien voulu t´enlever en voyage,
Une croisière de rêve au pays des mirages.
J´ai cherché un paquebot et c´était la galère,
Les rames étaient trop courte,
Pour atteindre le niveau d´la mer!
Alors je reste à ma place et tu restes à ta place,
Je ne voudrais pas avoir l´air suppliant.
Mais si je reste à ma place quand tu restes à ta place,
A l´automne on attendra le printemps.
J´aurais bien voulu réagir virilement,
Me jeter sur toi, t´arracher tout tes vêtements.
J´ai su rester digne, ou alors un peu niait.
J´en bouffe encore ma casquette, et j´ai du mal à digérer,
Que je suis assis en face, et pas à tes côtés.
Ya tes coudes et ya plus d´place et je n´peux pas rester
Meme si c´est juste en face, c´est juste pas assez,
C´est pas juste tout court et j´me sent comme condamné
J´aurais bien voulu avoir une peche d´enfer,
Te sourire sincèrement, te dire : « Ouais ca va super »
J´ai du mal à mentir surtout quand c´est pas vrai.
J´ai les gonds dans les chaussettes et les godasses sur le point de craquer
J´aurais bien voulu être un de ces gars
Qui ne craint ni la pluie ni la nuit ne le froid.
Au menton carré, qui ne pleure jamais et
Qui s´en va qui s´en va sans regrets,
Qui s´en va qui s´en va sans regrets.
J´aurais tant voulu qu´on en reste la,
Tourner les talons, merci, ciao, basta.
Mais j´ai le cœur en mousse et la tête en bois.
Même si j´ai la frousse ca n´empêchera pas,
De traverser la brousse de braver les froids,
De tendre le pouce pour partir avec toi.
Même la mort aux trousses, ca m´arrêtera pas
Jusqu´à ce que tu m´ouvre la porte de tes bras.
J´aurais bien voulu être un de ces gars
Qui ne craint ni la pluie ni la nuit ne le froid.
Au menton carré, qui ne pleure jamais et
Qui s´en va qui s´en va sans regrets.