Q.h.s.
by Bernard Lavilliers
lyricscopy.com
c´est l´hiver et nous tournons en ronds
sans rien faire - sans chanter de chansons
au fond des corridors
enfants des courants d´air
au dessus du grillage on voit
l´arrogance de leurs armes, tu vois
je ne suis pas à plaindre, crois-rois moi
on s´occupe de moi
on dirait
qu´ils veulent nous détruire
on dirait
qu´ils veulent nous réduire
je n ai pas de remords
j´suis un enfant perdu
je suis dans les nuages, c´est vrai
ici rien n´est réel, tu sais
peut-être qu´on se réveille jamais
mais qu´est-ce qu´on avait fait
j´suis un hors-la-loi
au goût de penthotal et de cendre
j´ suis un hors-la-loi
la vie est au-delà, tu lui ressembles
j´attends le jour
j´attends mon tour
j´attends toujours
j´attends, j´attends
la mort facile
idiot tranquille
jaguar castre
pris au filet
j´écris ma rage
je prends de l´age
j´connais c´est sûr
toutes les fissures-
chaque millimètre
de mes trois maîtres
les bruits, les heures
la nuit,la peur
j´vois ton visage
ouvrir ma cage
j´aime ton odeur
je sens ta chaleur
je crie ton nom
je crie l´amour
je vis toujours
combien de temps
j´attends, j´attends
j´attends
c´est l´hiver
et nous tournons en rond
sans rien faire
sans chanter de chansons
au fond des corridors
enfants des courants d´air
au-dessus du grillage. on voit
l´arrogance de leurs armes tu vois
je ne suis pas a plaindre, crois-moi
on s´occupe de moi
j´ suis un hors-la-loi
au goût de penthotal et de cendre
j´ suis un hors-la-loi
la vie est au-delà, tu lui ressembles
je suis un hors-la-loi
au goût de penthotal et de cendre
je suis un hors-la-loi
le ciel est gris acier, comme en décembre
et j´attends! j´attends!
sans rien faire - sans chanter de chansons
au fond des corridors
enfants des courants d´air
au dessus du grillage on voit
l´arrogance de leurs armes, tu vois
je ne suis pas à plaindre, crois-rois moi
on s´occupe de moi
on dirait
qu´ils veulent nous détruire
on dirait
qu´ils veulent nous réduire
je n ai pas de remords
j´suis un enfant perdu
je suis dans les nuages, c´est vrai
ici rien n´est réel, tu sais
peut-être qu´on se réveille jamais
mais qu´est-ce qu´on avait fait
j´suis un hors-la-loi
au goût de penthotal et de cendre
j´ suis un hors-la-loi
la vie est au-delà, tu lui ressembles
j´attends le jour
j´attends mon tour
j´attends toujours
j´attends, j´attends
la mort facile
idiot tranquille
jaguar castre
pris au filet
j´écris ma rage
je prends de l´age
j´connais c´est sûr
toutes les fissures-
chaque millimètre
de mes trois maîtres
les bruits, les heures
la nuit,la peur
j´vois ton visage
ouvrir ma cage
j´aime ton odeur
je sens ta chaleur
je crie ton nom
je crie l´amour
je vis toujours
combien de temps
j´attends, j´attends
j´attends
c´est l´hiver
et nous tournons en rond
sans rien faire
sans chanter de chansons
au fond des corridors
enfants des courants d´air
au-dessus du grillage. on voit
l´arrogance de leurs armes tu vois
je ne suis pas a plaindre, crois-moi
on s´occupe de moi
j´ suis un hors-la-loi
au goût de penthotal et de cendre
j´ suis un hors-la-loi
la vie est au-delà, tu lui ressembles
je suis un hors-la-loi
au goût de penthotal et de cendre
je suis un hors-la-loi
le ciel est gris acier, comme en décembre
et j´attends! j´attends!