Incandescence
by Broussaï
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Un camp des sens,
Ou sont rassemblées toutes les tendances,
Un peu de décence,
Mais comment résister quand les flammes dansent,
Par essence,
Devant la fontaine de jouvence,
Un vent d´innocence,
Souffle sur les braises de la mouvance,
Oh cendres d´inconscience,
Parfois sont trompeuses vos apparences.
Tant pis j´y pense, alors je me lance,
Brulant d´impatience, oubliant par avance,
Toutes mes souffrances,
Toutes mes soufrances.
Je ne peux plus m´en défaire,
Lumineux comme un éclair,
Sous l´égide de Lucifer,
Se battent en duel,
L´eau et l´air, le feu et la terre.
Que des hommes, que des hommes,
Nous ne sommes que des hommes, que des hommes.
Que des hommes, que des hommes,
Nous ne sommes que des hommes, que des hommes.
Un camps des sens,
Tous réunis avec aisance,
Un plein d´émotion
Se projette dans tous les sens,
Une explosion d´idées
Enflammant toute ma conscience.
Est ce que la vérité serait une offense?
De nombreuses flammes nous animent comme des tas de bougies qui brillent,
Faut-ils attendre la tempête pour que nos sens vacillent.
Craindre de tomber dans ce vice, trop d´aveugles s´orientent vers sa piste.
Auriez-vous la lumière pour éclairer tous ces hommes qui glissent?
Que des hommes, que des hommes,
Nous ne sommes que des hommes, que des hommes.
Que des hommes, que des hommes,
Nous ne sommes que des hommes, que des hommes.
Que des hommes, que des hommes...
Ou sont rassemblées toutes les tendances,
Un peu de décence,
Mais comment résister quand les flammes dansent,
Par essence,
Devant la fontaine de jouvence,
Un vent d´innocence,
Souffle sur les braises de la mouvance,
Oh cendres d´inconscience,
Parfois sont trompeuses vos apparences.
Tant pis j´y pense, alors je me lance,
Brulant d´impatience, oubliant par avance,
Toutes mes souffrances,
Toutes mes soufrances.
Je ne peux plus m´en défaire,
Lumineux comme un éclair,
Sous l´égide de Lucifer,
Se battent en duel,
L´eau et l´air, le feu et la terre.
Que des hommes, que des hommes,
Nous ne sommes que des hommes, que des hommes.
Que des hommes, que des hommes,
Nous ne sommes que des hommes, que des hommes.
Un camps des sens,
Tous réunis avec aisance,
Un plein d´émotion
Se projette dans tous les sens,
Une explosion d´idées
Enflammant toute ma conscience.
Est ce que la vérité serait une offense?
De nombreuses flammes nous animent comme des tas de bougies qui brillent,
Faut-ils attendre la tempête pour que nos sens vacillent.
Craindre de tomber dans ce vice, trop d´aveugles s´orientent vers sa piste.
Auriez-vous la lumière pour éclairer tous ces hommes qui glissent?
Que des hommes, que des hommes,
Nous ne sommes que des hommes, que des hommes.
Que des hommes, que des hommes,
Nous ne sommes que des hommes, que des hommes.
Que des hommes, que des hommes...