Comme avant
by Buridane
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Et si,
Ce soir,
Une dernière fois,
Au hasard de tes pas,
Tu t´arrêtais chez moi,
On ferait comme avant
On f´rait comme si de rien,
Comme si on avait toujours été bien.
Si on prenait la route et Qu´on marchait jusqu´à demain,
Q´on usait les trottoirs et Notre chagrin
La nuit, l´espoir est moins Ténu avec toutes ces étoiles Qui brillent au dessus,
On referait le monde, le même chemin,
Peut-être la même histoire et la même fin
Et même si rien ne se refait Quand la chance est partie,
On marchera quand même Jusqu´au bout de la nuit
On prendrait tous les ponts Pour rêver le grand,
Se pencher par dessus bord et voir le vent agiter l´eau,
Et nos reflets brouillés Flottants à la surface,
Emportés par le courant qui nous effacent,
Et si, après,
Une dernière fois,
Juste pour voir,
Tu montais jusqu´à chez moi,
On ferait comme avant,
On f´rait comme si de rien,
Comme si on avait toujours été bien.
On marcherait pieds nus pour mieux sentir la terre,
Ce qui nous relie moi qui suis trop légère,
Et les saules qui pleurent sur le rebord du quai
à nous voir si proches et si éloignés,
La ville serait vidée
Et les réverbères allumeraient nos ombres étrangères,
Et tant que l´air est doux
Et que l´on se sent bien,
On marchera ensemble jusqu´à demain..
Ce soir,
Une dernière fois,
Au hasard de tes pas,
Tu t´arrêtais chez moi,
On ferait comme avant
On f´rait comme si de rien,
Comme si on avait toujours été bien.
Si on prenait la route et Qu´on marchait jusqu´à demain,
Q´on usait les trottoirs et Notre chagrin
La nuit, l´espoir est moins Ténu avec toutes ces étoiles Qui brillent au dessus,
On referait le monde, le même chemin,
Peut-être la même histoire et la même fin
Et même si rien ne se refait Quand la chance est partie,
On marchera quand même Jusqu´au bout de la nuit
On prendrait tous les ponts Pour rêver le grand,
Se pencher par dessus bord et voir le vent agiter l´eau,
Et nos reflets brouillés Flottants à la surface,
Emportés par le courant qui nous effacent,
Et si, après,
Une dernière fois,
Juste pour voir,
Tu montais jusqu´à chez moi,
On ferait comme avant,
On f´rait comme si de rien,
Comme si on avait toujours été bien.
On marcherait pieds nus pour mieux sentir la terre,
Ce qui nous relie moi qui suis trop légère,
Et les saules qui pleurent sur le rebord du quai
à nous voir si proches et si éloignés,
La ville serait vidée
Et les réverbères allumeraient nos ombres étrangères,
Et tant que l´air est doux
Et que l´on se sent bien,
On marchera ensemble jusqu´à demain..