Dans l'impasse
by Cercle Rouge
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[ MYSTIK ]
{au Refrain, x2}
J´avais pas vraiment prévu que ça se passe comme ça.
Dans ce foutoir tu as vraiment pas le choix.
Je deviens dingue, je me déchaîne sur ma tignasse.
Tu as déjà vu la réaction d´une bête coincée dans une impasse?
Avant d´être un mauvais garçon, il était destiné à faire autre chose.
Au fil du temps, métamorphose. Que des imprévus dans sa vie.
Un monde ambigu, sur les ailes du temps, le voilà englouti.
Le chemin initial, oublié depuis longtemps,
Complètement perdu parmi ses grands bâtiments.
Le point de base, je le vois dans le lointain, poussière.
Y a-t-il encore des traces d´avant-hier?
Galerianos, la zone prend le dessus.
Bouffe ta vie, tes valeurs sociales à ton insu,
Tu fais partie de la foule qui rampe dans l´obscurité.
Des spécimens rares, qui sont difficiles à cerner.
N´importe qui pourrait faire de toi sa proie,
Quand tu vis dans un monde où le meilleur et le pire se côtoient,
Perpétuels combats entre deux choses opposées,
Dans l´état d´esprit, le bien et le mal ne cessent de s´affronter.
Le bonheur m´a rarement donné rendez-vous.
Rendez-vous compte, le bien et le mal s´affrontent, je deviens fou.
Au seuil de la vie dans ma tanière, croisant la galère, je dois tenir tête,
Parmi les retournés de la tête en quête de pépètes.
On m´a refusé l´arme de la force de la caillasse.
Je suis armé de cette capacité de faire surgir en vous l´angoisse.
Trop de tasses bues dans l´espace. De la galère la zone m´embrasse.
Puis je suis devenu quelqu´un qui nuit.
Errant ici et là, cela à forgé mon état d´esprit.
Je dois être au-dessus de déboires,
Je baise en brochette ceux qui essaient de balayer mes espoirs.
Le pouvoir c´est le gen-ar, pour l´avoir, développe ton flair.
Les obstacles, il faut les soustraire.
Alors j´amasse les vices pour sortir de la masse.
Personnage dun tableau cramé, de mon côté, y´a que la poisse.
{au Refrain}
Dans l´impasse, je pense à ceux qui gambergent.
Entre quatre murs des souvenirs émergent.
L´extérieur n´est pour eux qu´un voyage à court terme,
Ils vont au placard comme un tiroir qui s´ouvre et se ferme.
Enfermés, tu perds l´équilibre, tu bascules.
Faut pas s´étonner que certains deviennent des crapules,
Des salopards, des vermines, les plus forts éliminent les faibles,
C´est comme ça que beaucoup de problèmes se règlent.
On veut mettre la société à l´abri de ces soi-disant mauvais penchants,
Mauvais garçon à double tranchant.
Sauve qui peut, ils commencent à mordiller les fesses,
Ta vie sera broyée, pas de cadeaux, pas de tendresse,
L´amour des miens me sert de torche.
Ceux qui passe l´uniforme, avec moi difficile d´être proche.
L´avenir incertain, certains sombrent dans le doute,
Les plus vicelards arrivent à gagner leur croûte.
En évitant les erreurs inutiles du biz,
Tomber entre les mains d´un flic, cette angoisse fragilise.
Mais t´inquiète mec, désormais les lascars frappent sec,
Car ils ont les ongles et le bec.
{au Refrain}
{au Refrain, x2}
J´avais pas vraiment prévu que ça se passe comme ça.
Dans ce foutoir tu as vraiment pas le choix.
Je deviens dingue, je me déchaîne sur ma tignasse.
Tu as déjà vu la réaction d´une bête coincée dans une impasse?
Avant d´être un mauvais garçon, il était destiné à faire autre chose.
Au fil du temps, métamorphose. Que des imprévus dans sa vie.
Un monde ambigu, sur les ailes du temps, le voilà englouti.
Le chemin initial, oublié depuis longtemps,
Complètement perdu parmi ses grands bâtiments.
Le point de base, je le vois dans le lointain, poussière.
Y a-t-il encore des traces d´avant-hier?
Galerianos, la zone prend le dessus.
Bouffe ta vie, tes valeurs sociales à ton insu,
Tu fais partie de la foule qui rampe dans l´obscurité.
Des spécimens rares, qui sont difficiles à cerner.
N´importe qui pourrait faire de toi sa proie,
Quand tu vis dans un monde où le meilleur et le pire se côtoient,
Perpétuels combats entre deux choses opposées,
Dans l´état d´esprit, le bien et le mal ne cessent de s´affronter.
Le bonheur m´a rarement donné rendez-vous.
Rendez-vous compte, le bien et le mal s´affrontent, je deviens fou.
Au seuil de la vie dans ma tanière, croisant la galère, je dois tenir tête,
Parmi les retournés de la tête en quête de pépètes.
On m´a refusé l´arme de la force de la caillasse.
Je suis armé de cette capacité de faire surgir en vous l´angoisse.
Trop de tasses bues dans l´espace. De la galère la zone m´embrasse.
Puis je suis devenu quelqu´un qui nuit.
Errant ici et là, cela à forgé mon état d´esprit.
Je dois être au-dessus de déboires,
Je baise en brochette ceux qui essaient de balayer mes espoirs.
Le pouvoir c´est le gen-ar, pour l´avoir, développe ton flair.
Les obstacles, il faut les soustraire.
Alors j´amasse les vices pour sortir de la masse.
Personnage dun tableau cramé, de mon côté, y´a que la poisse.
{au Refrain}
Dans l´impasse, je pense à ceux qui gambergent.
Entre quatre murs des souvenirs émergent.
L´extérieur n´est pour eux qu´un voyage à court terme,
Ils vont au placard comme un tiroir qui s´ouvre et se ferme.
Enfermés, tu perds l´équilibre, tu bascules.
Faut pas s´étonner que certains deviennent des crapules,
Des salopards, des vermines, les plus forts éliminent les faibles,
C´est comme ça que beaucoup de problèmes se règlent.
On veut mettre la société à l´abri de ces soi-disant mauvais penchants,
Mauvais garçon à double tranchant.
Sauve qui peut, ils commencent à mordiller les fesses,
Ta vie sera broyée, pas de cadeaux, pas de tendresse,
L´amour des miens me sert de torche.
Ceux qui passe l´uniforme, avec moi difficile d´être proche.
L´avenir incertain, certains sombrent dans le doute,
Les plus vicelards arrivent à gagner leur croûte.
En évitant les erreurs inutiles du biz,
Tomber entre les mains d´un flic, cette angoisse fragilise.
Mais t´inquiète mec, désormais les lascars frappent sec,
Car ils ont les ongles et le bec.
{au Refrain}