La chasse
by Chansons Populaires
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Quand vient l´ouverture de la chasse
Je prends mon fusil, mon carnier
Et tous les chasseurs suivent ma trace
Je suis la terreur du gibier
Car il suffit que j´apparaisse
Pour voir les perdrix s´envoler
Les lièvres entre eux serrent les fesses
Et les cailles ont leur lait caillé
Taïaut! Taïaut!
Fuyez, lapins et lapereaux!
Chasser, c´est là ma passion vive
Tout jeune, je courais dans les bois
Je tuais déjà tant de grives
Que j´en étais dev´nu grivois
Très souvent, j´étonne le monde
Je suis une piste avec soin
Mais comme, hélas, la Terre est ronde
Je n´ peux pas pister dans les coins
Taïaut! Taïaut!
Il paraît que je piste de trop
En chassant avec ma cousine
Un maladroit lui envoya
Une balle dans le bas de l´échine
Puis, effrayé, il se sauva
Ma cousine criait au scandale
Je vis alors avec effroi
Qu´elle avait un si grand trou d´ balle
Qu´on pouvait y mettre les doigts
Taïaut! Taïaut!
Il était grand comme mon chapeau
Dans les chasses de grande envergure
C´est une coutume entre chasseurs
Nous mettons sur notre coiffure
Une plume blanche ou de couleur
Si l´on en manque, je le présume,
Vivement j´abats un grand zoiseau
Et tous ensemble, on taille des plumes
Afin d´en orner nos chapeaux
Taïaut! Taïaut!
En plein bois, quel joli tableau!
Il est une coutume très chouette
Quand on a tué un sanglier
C´est de couper un pied d´ la bête
Et à une dame de le donner
S´il n´est point parmi nous de dame
C´est à moi qu´on vient l´apporter
Et pendant qu´ les chasseurs m´acclament
Devant tout l´ monde, je prends mon pied
Taïaut! Taïaut!
En plein bois, quel joli tableau!
Je prends mon fusil, mon carnier
Et tous les chasseurs suivent ma trace
Je suis la terreur du gibier
Car il suffit que j´apparaisse
Pour voir les perdrix s´envoler
Les lièvres entre eux serrent les fesses
Et les cailles ont leur lait caillé
Taïaut! Taïaut!
Fuyez, lapins et lapereaux!
Chasser, c´est là ma passion vive
Tout jeune, je courais dans les bois
Je tuais déjà tant de grives
Que j´en étais dev´nu grivois
Très souvent, j´étonne le monde
Je suis une piste avec soin
Mais comme, hélas, la Terre est ronde
Je n´ peux pas pister dans les coins
Taïaut! Taïaut!
Il paraît que je piste de trop
En chassant avec ma cousine
Un maladroit lui envoya
Une balle dans le bas de l´échine
Puis, effrayé, il se sauva
Ma cousine criait au scandale
Je vis alors avec effroi
Qu´elle avait un si grand trou d´ balle
Qu´on pouvait y mettre les doigts
Taïaut! Taïaut!
Il était grand comme mon chapeau
Dans les chasses de grande envergure
C´est une coutume entre chasseurs
Nous mettons sur notre coiffure
Une plume blanche ou de couleur
Si l´on en manque, je le présume,
Vivement j´abats un grand zoiseau
Et tous ensemble, on taille des plumes
Afin d´en orner nos chapeaux
Taïaut! Taïaut!
En plein bois, quel joli tableau!
Il est une coutume très chouette
Quand on a tué un sanglier
C´est de couper un pied d´ la bête
Et à une dame de le donner
S´il n´est point parmi nous de dame
C´est à moi qu´on vient l´apporter
Et pendant qu´ les chasseurs m´acclament
Devant tout l´ monde, je prends mon pied
Taïaut! Taïaut!
En plein bois, quel joli tableau!