La valse qu'on oublie (la valse jolie)
by Chansons Populaires
lyricscopy.com
Ils s´étaient rencontrés ma fois très simplement,
Par un soir de printemps!
En écoutant chanter, au coin du vieux faubourg
Une valse d´amour.
Regardant des beaux yeux, il murmura tout bas :
«Acceptez donc mes bras»
Mais elle répondit avec un air moqueur :
«Cette chanson me fait peur»
{Refrain:}
C´est la valse jolie
Que chantent les amants,
Prend bien garde ma mie,
A son charme troublant!
Dans un refrain berceur,
Elle prendra ton cœur.
Mais la valse d´amour,
Devient presque toujours,
La valse qu´on oublie.
Mais ils se sont revus, car lorsqu´on a vingt ans,
Il faut croire aux serments.
Et quand il lui jura dans un très doux baiser,
De toujours l´adorer,
Elle quitta sa maman, disant : «Faut me pardonner
Si je te fais pleurer
Mais l´amour est plus fort, plus fort que la raison
Et que toutes les chansons.»
{au Refrain}
Puis ils se sont quittés, l´amour n´est-il pas fait
De désirs, de regrets?
Ah! qu´il est beau le rêve,
Lorsque l´on va partir, Il ne doit pas finir.
Seulement un soir d´hiver, devant un vieux coffret
On relit des billets
Et la dernière lettre, celle qu´on n´oublie pas,
Fait murmurer tout bas.
{au Refrain}
Par un soir de printemps!
En écoutant chanter, au coin du vieux faubourg
Une valse d´amour.
Regardant des beaux yeux, il murmura tout bas :
«Acceptez donc mes bras»
Mais elle répondit avec un air moqueur :
«Cette chanson me fait peur»
{Refrain:}
C´est la valse jolie
Que chantent les amants,
Prend bien garde ma mie,
A son charme troublant!
Dans un refrain berceur,
Elle prendra ton cœur.
Mais la valse d´amour,
Devient presque toujours,
La valse qu´on oublie.
Mais ils se sont revus, car lorsqu´on a vingt ans,
Il faut croire aux serments.
Et quand il lui jura dans un très doux baiser,
De toujours l´adorer,
Elle quitta sa maman, disant : «Faut me pardonner
Si je te fais pleurer
Mais l´amour est plus fort, plus fort que la raison
Et que toutes les chansons.»
{au Refrain}
Puis ils se sont quittés, l´amour n´est-il pas fait
De désirs, de regrets?
Ah! qu´il est beau le rêve,
Lorsque l´on va partir, Il ne doit pas finir.
Seulement un soir d´hiver, devant un vieux coffret
On relit des billets
Et la dernière lettre, celle qu´on n´oublie pas,
Fait murmurer tout bas.
{au Refrain}