Le tango de la cuisinière
by Chansons Populaires
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J´ai sauté le mur
Pour te dire tout mon amur,
Mon joli trésor,
Ma p´tite gueugueule en or
Et, rempli d´espoir,
Je viens sérénader ce soir.
Ton cœur heureux
Écoute mes aveux.
Ô ma belle cuisinière,
Viens donc danser le tango.
Laisse tes plats, tes soupières;
Ecoute ce chant nouveau.
Viens dans mes bras, ô ma belle,
Je me sens rempli d´entrain.
Et tant pis pour ta vaisselle,
Tu la finiras demain.
Vois-tu, j´ suis jaloux
Du bouillon qui te fait les yeux doux.
Et la nuit, parfois, lorsque je pense à toi,
Je rêve que je suis une assiette
Et que tu m´essuies;
Et mon cœur est chaud
Tout comme ton corniaud.
Ô ma belle cuisinière,
Viens donc danser le tango.
Allons, ne fais pas la fière,
Je serai ton gigolo.
Dans un dancinge, mon amante,
Viens, nous irons bambocher.
J´ te paierai un Vichy-menthe
Ou un demi panaché.
Si j´avais seulement
Une échelle de corde en c´ moment,
Tout comme Roméo,
J´irais te voir là-haut.
Tiens, si je pouvais,
Le long des tuyaux,
Je grimperais.
Mais j´ai peur, tout seul,
De me casser la gueule
Ô ma belle cuisinière,
Regarde au-dessus de nous.
La lune qui nous éclaire
Semble nous dire : Aimez-vous.
Je suis comme elle, ô ma brune,
C´est en vain que je t´attends.
Quand on est comme la lune,
On dit que c´est pour longtemps.
Pour te dire tout mon amur,
Mon joli trésor,
Ma p´tite gueugueule en or
Et, rempli d´espoir,
Je viens sérénader ce soir.
Ton cœur heureux
Écoute mes aveux.
Ô ma belle cuisinière,
Viens donc danser le tango.
Laisse tes plats, tes soupières;
Ecoute ce chant nouveau.
Viens dans mes bras, ô ma belle,
Je me sens rempli d´entrain.
Et tant pis pour ta vaisselle,
Tu la finiras demain.
Vois-tu, j´ suis jaloux
Du bouillon qui te fait les yeux doux.
Et la nuit, parfois, lorsque je pense à toi,
Je rêve que je suis une assiette
Et que tu m´essuies;
Et mon cœur est chaud
Tout comme ton corniaud.
Ô ma belle cuisinière,
Viens donc danser le tango.
Allons, ne fais pas la fière,
Je serai ton gigolo.
Dans un dancinge, mon amante,
Viens, nous irons bambocher.
J´ te paierai un Vichy-menthe
Ou un demi panaché.
Si j´avais seulement
Une échelle de corde en c´ moment,
Tout comme Roméo,
J´irais te voir là-haut.
Tiens, si je pouvais,
Le long des tuyaux,
Je grimperais.
Mais j´ai peur, tout seul,
De me casser la gueule
Ô ma belle cuisinière,
Regarde au-dessus de nous.
La lune qui nous éclaire
Semble nous dire : Aimez-vous.
Je suis comme elle, ô ma brune,
C´est en vain que je t´attends.
Quand on est comme la lune,
On dit que c´est pour longtemps.