La petite fille aux allumettes
by Chantal Goya
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Ecoutez c´est une histoire de Hans Christian Andersen,
Et du fond de ma mémoire autant que je m´en souvienne,
La petite fille de l´hiver dans la nuit du nouvel an,
Tremblant dans le vent d´hiver, disait à tous les passants :
Ne partez pas, ne partez pas,
Je suis la petite fille aux allumettes.
Achetez, je vous en prie, mes allumettes,
Ou je vais mourir de froid.
Il vous en faudra cette année,
Pour allumer le feu de vos cheminées.
C´est pourquoi je vous en prie,
Ne partez pas, ne partez pas.
Pour avoir un peu moins froid, elle allume une allumette.
Alors un grand feu de joie sort de ses mains entrouvertes.
Elle y voit un beau sapin, un bon repas de Noël,
Mais quand tout fond dans ses mains, elle s´écrit au nom du ciel :
Ne partez pas, ne partez pas,
Je suis la petite fille aux allumettes.
Achetez, je vous en prie, mes allumettes,
Ou je vais mourir de froid.
Vous! Les cadeaux dont j´ai rêvé,
Oh vous! Les merveilles qui vous envolez
Dans cette flamme qui s´éteint chaque fois,
Ne partez pas!
A la dernière allumette elle meurt mais cette fois,
Sa grand-mère vient d´apparaître et l´emporte dans ses bras.
Au paradis des grands-mères toutes deux s´en sont allées.
Passants qui n´écoutaient guère vous n´entendrez plus chanter :
Ne partez pas, ne partez pas,
Je suis la petite fille aux allumettes.
Achetez, je vous en prie, mes allumettes,
Ou je vais mourir de froid.
Car au paradis des grands-mères.
Vous savez il n´y a jamais d´hiver,
Et nous on vous croit cher monsieur Andersen,
Andersen.
Et du fond de ma mémoire autant que je m´en souvienne,
La petite fille de l´hiver dans la nuit du nouvel an,
Tremblant dans le vent d´hiver, disait à tous les passants :
Ne partez pas, ne partez pas,
Je suis la petite fille aux allumettes.
Achetez, je vous en prie, mes allumettes,
Ou je vais mourir de froid.
Il vous en faudra cette année,
Pour allumer le feu de vos cheminées.
C´est pourquoi je vous en prie,
Ne partez pas, ne partez pas.
Pour avoir un peu moins froid, elle allume une allumette.
Alors un grand feu de joie sort de ses mains entrouvertes.
Elle y voit un beau sapin, un bon repas de Noël,
Mais quand tout fond dans ses mains, elle s´écrit au nom du ciel :
Ne partez pas, ne partez pas,
Je suis la petite fille aux allumettes.
Achetez, je vous en prie, mes allumettes,
Ou je vais mourir de froid.
Vous! Les cadeaux dont j´ai rêvé,
Oh vous! Les merveilles qui vous envolez
Dans cette flamme qui s´éteint chaque fois,
Ne partez pas!
A la dernière allumette elle meurt mais cette fois,
Sa grand-mère vient d´apparaître et l´emporte dans ses bras.
Au paradis des grands-mères toutes deux s´en sont allées.
Passants qui n´écoutaient guère vous n´entendrez plus chanter :
Ne partez pas, ne partez pas,
Je suis la petite fille aux allumettes.
Achetez, je vous en prie, mes allumettes,
Ou je vais mourir de froid.
Car au paradis des grands-mères.
Vous savez il n´y a jamais d´hiver,
Et nous on vous croit cher monsieur Andersen,
Andersen.