Le quartier-maître
by Charles Rocchi
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N´entends-tu pas chanter sous ta fenêtre
Celui qui t´aime tant, ton quartier-maître?
Je reviens du Tonkin, voilà que j´ai fini
Heureux de te revoir, oh ma chérie!
J´ai rapporté pour toi de belles choses
Des beaux foulards de soie en rouge, en rose
Un singe, une guenon, des éventails
Et tous les souvenirs de Shanghaï
Tes yeux noirs qui me donnent la frousse
Tes dents blanches comme la brousse
Et ton air qui fait chavirer les cœurs
Aie pitié de ton navigateur,
J´ai quitté ma belle tonkinoise
C´est pour toi, ma charmante corsoise
Toi qui as des choses si belles à me dire
Toi qui manges encore du figatelli
Si tu veux, dans les rues de l´île rousse
Je te promènerai en pousse-pousse
Je te ferai connaître savamment
Le Dieu que les chinoises adorent tant
Allons, ne rougis pas et n´aie pas honte
Si tu ne descends pas, alors je monte
J´en ai assez de tout ce riz bouilli
Ça vaut pas la polenta du pays
Embrasse ton navigateur!
Celui qui t´aime tant, ton quartier-maître?
Je reviens du Tonkin, voilà que j´ai fini
Heureux de te revoir, oh ma chérie!
J´ai rapporté pour toi de belles choses
Des beaux foulards de soie en rouge, en rose
Un singe, une guenon, des éventails
Et tous les souvenirs de Shanghaï
Tes yeux noirs qui me donnent la frousse
Tes dents blanches comme la brousse
Et ton air qui fait chavirer les cœurs
Aie pitié de ton navigateur,
J´ai quitté ma belle tonkinoise
C´est pour toi, ma charmante corsoise
Toi qui as des choses si belles à me dire
Toi qui manges encore du figatelli
Si tu veux, dans les rues de l´île rousse
Je te promènerai en pousse-pousse
Je te ferai connaître savamment
Le Dieu que les chinoises adorent tant
Allons, ne rougis pas et n´aie pas honte
Si tu ne descends pas, alors je monte
J´en ai assez de tout ce riz bouilli
Ça vaut pas la polenta du pays
Embrasse ton navigateur!