C'était… c'était… c'était…
by Charles Trenet
lyricscopy.com
C´était... c´était... c´était...
Du côté de la rivière,
C´était du côté du ruisseau des lavandières
C´était c´était c´était,
Après le pont dans les herbes,
C´était c´était du côté
Du côté de l´été.
On y voyait l´azur superbe
Derrière l´usine à soufre.
Les grillons qui couraient dans l´herbe
Tombaient dans le gouffre de l´écluse.
C´était c´était c´était
L´amour des premiers âges,
Volage,
Un baiser trop vite accepté.
C´était la volupté,
C´était la chanson de l´été,
C´était ma vie.
C´était c´était c´était
L´orage dans les wagons-foudres,
C´était la maison du bossu
Réduite en poudre...
C´était c´était c´était
Les gens sur la passerelle,
C´étaient les voyous du quartier.
Pour moi, c´était l´amitié
Parmi les buissons des garrigues,
Courant vers les jeunettes,
M´arrêtant pour manger des figues,
Chantant ma chansonnette
Hiver, été.
C´était c´était c´était
L´amour des premiers âges,
Volage, un baiser
Trop vite accepté.
C´était la volupté...
C´était c´était c´était
La route de la poussière,
C´étaient les trains qui roulaient
Dans la nuit familière.
C´était c´était c´était
Le bruit sourd d´une porte.
C´était peut-être un mort?
Grand-mère qui revenait,
Platanes au vent de septembre,
Amis, chers musiciens,
Bercez ce soir dans ma chambre
Mes souvenirs anciens,
Vieille mode.
C´était c´était c´était
Le temps heureux que j´envie.
C´était la chanson de l´été!
C´était ma vie...
Du côté de la rivière,
C´était du côté du ruisseau des lavandières
C´était c´était c´était,
Après le pont dans les herbes,
C´était c´était du côté
Du côté de l´été.
On y voyait l´azur superbe
Derrière l´usine à soufre.
Les grillons qui couraient dans l´herbe
Tombaient dans le gouffre de l´écluse.
C´était c´était c´était
L´amour des premiers âges,
Volage,
Un baiser trop vite accepté.
C´était la volupté,
C´était la chanson de l´été,
C´était ma vie.
C´était c´était c´était
L´orage dans les wagons-foudres,
C´était la maison du bossu
Réduite en poudre...
C´était c´était c´était
Les gens sur la passerelle,
C´étaient les voyous du quartier.
Pour moi, c´était l´amitié
Parmi les buissons des garrigues,
Courant vers les jeunettes,
M´arrêtant pour manger des figues,
Chantant ma chansonnette
Hiver, été.
C´était c´était c´était
L´amour des premiers âges,
Volage, un baiser
Trop vite accepté.
C´était la volupté...
C´était c´était c´était
La route de la poussière,
C´étaient les trains qui roulaient
Dans la nuit familière.
C´était c´était c´était
Le bruit sourd d´une porte.
C´était peut-être un mort?
Grand-mère qui revenait,
Platanes au vent de septembre,
Amis, chers musiciens,
Bercez ce soir dans ma chambre
Mes souvenirs anciens,
Vieille mode.
C´était c´était c´était
Le temps heureux que j´envie.
C´était la chanson de l´été!
C´était ma vie...