Grand-maman, c'est new york
by Charles Trenet
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C´était un enfant de quarant´ cinq ans
Qui voyageait seul avec sa grand-mère.
C´était un enfant de quarant´ cinq ans
Qui voyageait seul avec sa maman.
Sa grand´ barbe noire aux longs poils frisants
F´sait l´admiration d´la famille entière.
Sa grand´barbe noire aux longs poils frisants,
F´sait l´admiration de tous ses parents.
Sur un bateau, il s´embarqua,
Croyant partir pour l´Kamtchatka
Mais au bout d´huit jours, quel drame!
Il s´écria "Mesdames :
Grand-maman, c´est new-York!
C´est New-York.
Je vois les bateaux-remorques,
Grand-maman, c´est New-York.
Je vois les bateaux dans le port de New-York.
Les mouettes font bonjour.
Dans le ciel je vois les jolies mouettes,
Les mouettes me font bonjour
Et je sens en moi de longs frissons d´amour.
Sa grand-mère le calma
Avec un bout de chocolat
Mais l´enfant, le cœur en fête,
Criait à tue-tête :
Grand-maman, c´est New-York,
C´est New-York : je vois les bateaux-remorques.
Grand-maman c´est New-York!
Je vois les bateaux dans le port de New-York.
Comme il était dans la diplomatie,
Il faisait parfois de charmants voyages.
Comme il était dans la diplomatie,
Il visitait tout, l´Europe et l´Asie.
Il vécut ainsi
Quatre-vingt-douze ans,
Toujours escorté de sa vieill´ grand-mère.
Il vécut ainsi quatre-vingt-douze ans,
Toujour escorté de sa vieill´ maman.
Le jour d´sa mort, elle était là
Qui lui donnait du chocolat,
Mais, perdu dans son délire
Il ne savait que dire :
Grand-maman, c´est New-York!
C´est New-York.
Je vois les bateaux-remorques,
Grand-maman, c´est New-York!
Je vois les bateaux dans le port de New-York.
Les mouettes me font bonjour.
Dans le ciel je vois les jolies mouettes,
Les mouettes me font bonjour
Et je sens en moi de longs frissons d´amour.
Quand au ciel, il arriva,
L´Empire State il retrouva.
Les anges lisaient le Daily News
En disant : Sacré bon Dious,
Mon p´tit gars c´est New-York,
C´est New-York, tu vois les bateaux remorques.
Mon p´tit gars c´est New-York!
Tu vois les bateaux dans le port de New-York,
Tu vois les bateaux dans le port de New-York.
Qui voyageait seul avec sa grand-mère.
C´était un enfant de quarant´ cinq ans
Qui voyageait seul avec sa maman.
Sa grand´ barbe noire aux longs poils frisants
F´sait l´admiration d´la famille entière.
Sa grand´barbe noire aux longs poils frisants,
F´sait l´admiration de tous ses parents.
Sur un bateau, il s´embarqua,
Croyant partir pour l´Kamtchatka
Mais au bout d´huit jours, quel drame!
Il s´écria "Mesdames :
Grand-maman, c´est new-York!
C´est New-York.
Je vois les bateaux-remorques,
Grand-maman, c´est New-York.
Je vois les bateaux dans le port de New-York.
Les mouettes font bonjour.
Dans le ciel je vois les jolies mouettes,
Les mouettes me font bonjour
Et je sens en moi de longs frissons d´amour.
Sa grand-mère le calma
Avec un bout de chocolat
Mais l´enfant, le cœur en fête,
Criait à tue-tête :
Grand-maman, c´est New-York,
C´est New-York : je vois les bateaux-remorques.
Grand-maman c´est New-York!
Je vois les bateaux dans le port de New-York.
Comme il était dans la diplomatie,
Il faisait parfois de charmants voyages.
Comme il était dans la diplomatie,
Il visitait tout, l´Europe et l´Asie.
Il vécut ainsi
Quatre-vingt-douze ans,
Toujours escorté de sa vieill´ grand-mère.
Il vécut ainsi quatre-vingt-douze ans,
Toujour escorté de sa vieill´ maman.
Le jour d´sa mort, elle était là
Qui lui donnait du chocolat,
Mais, perdu dans son délire
Il ne savait que dire :
Grand-maman, c´est New-York!
C´est New-York.
Je vois les bateaux-remorques,
Grand-maman, c´est New-York!
Je vois les bateaux dans le port de New-York.
Les mouettes me font bonjour.
Dans le ciel je vois les jolies mouettes,
Les mouettes me font bonjour
Et je sens en moi de longs frissons d´amour.
Quand au ciel, il arriva,
L´Empire State il retrouva.
Les anges lisaient le Daily News
En disant : Sacré bon Dious,
Mon p´tit gars c´est New-York,
C´est New-York, tu vois les bateaux remorques.
Mon p´tit gars c´est New-York!
Tu vois les bateaux dans le port de New-York,
Tu vois les bateaux dans le port de New-York.