Traître, le temps
by Christine Ruffin
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Il faut aimer le temps qui passe
Bien vite, lorsque tu es là
Ce temps qui fuit quand tu m´embrasses
Un souffle d´air en entrechat
Il faut freiner le temps qui passe
Noyant nos rires et nos ébats
Ta main dans mon dos qui m´enlace
Qu´en reste-t-il quand tu t´en vas?
Ce temps pourtant me prend en traître
Quand ton absence pèse en moi
Il s´alourdit jusqu´à soumettre
Les aiguilles qui ne tournent pas
L´horloge dort, les heures plombent
Et moi, je perds confiance en moi
Comment tenir si je succombe
Au mal d´amour, au mal de toi?
Il faut aimer le temps qui passe
Beaucoup trop vite, auprès de toi
A croire qu´il aurait l´audace
De tourner deux heures à la fois
Faudrait freiner ce temps qui passe
Pour profiter de nos émois,
Nos paroles et nos face-à-face
Qui s´envolent quand tu t´en vas
Heure après heure, la vie s´avance
Le jour passé est loin déjà
Mais le temps est sous influence
Quand tu es loin, il marche au pas
Il faut apprivoiser le manque,
Cette panique qui vous broie,
Qui vous fait languir et vous flanque
La peur qu´il ne revienne pas
Ce temps que j´aime quand il passe
Même trop vite, auprès de toi
Quand ton sourire chasse l´angoisse
Quand ton bras se noue à mon bras
Si nulle guerre, nulle menace
Ne vient troubler le fil des jours
Alors j´aurai foi pour qu´il fasse
Venir le jour de ton retour
Si nulle guerre, nulle menace
Ne vient troubler le fil des jours
Alors, j´aurai foi pour qu´il fasse
Venir ce jour
Bien vite, lorsque tu es là
Ce temps qui fuit quand tu m´embrasses
Un souffle d´air en entrechat
Il faut freiner le temps qui passe
Noyant nos rires et nos ébats
Ta main dans mon dos qui m´enlace
Qu´en reste-t-il quand tu t´en vas?
Ce temps pourtant me prend en traître
Quand ton absence pèse en moi
Il s´alourdit jusqu´à soumettre
Les aiguilles qui ne tournent pas
L´horloge dort, les heures plombent
Et moi, je perds confiance en moi
Comment tenir si je succombe
Au mal d´amour, au mal de toi?
Il faut aimer le temps qui passe
Beaucoup trop vite, auprès de toi
A croire qu´il aurait l´audace
De tourner deux heures à la fois
Faudrait freiner ce temps qui passe
Pour profiter de nos émois,
Nos paroles et nos face-à-face
Qui s´envolent quand tu t´en vas
Heure après heure, la vie s´avance
Le jour passé est loin déjà
Mais le temps est sous influence
Quand tu es loin, il marche au pas
Il faut apprivoiser le manque,
Cette panique qui vous broie,
Qui vous fait languir et vous flanque
La peur qu´il ne revienne pas
Ce temps que j´aime quand il passe
Même trop vite, auprès de toi
Quand ton sourire chasse l´angoisse
Quand ton bras se noue à mon bras
Si nulle guerre, nulle menace
Ne vient troubler le fil des jours
Alors j´aurai foi pour qu´il fasse
Venir le jour de ton retour
Si nulle guerre, nulle menace
Ne vient troubler le fil des jours
Alors, j´aurai foi pour qu´il fasse
Venir ce jour