J'ai laissé
by Christophe Maé
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J´avoue,
C´est pas le bonheur.
Moi je vivais d´amour,
Aujourd´hui je n´ai plus l´âme sœur.
J´écoute,
Ma douleur.
Et le silence est lourd,
Les secondes sont des heures.
Et j´imagine ce que tu dis,
Ce que tu fais, ce que tu penses.
Et je devine ce que tu vis,
A ses cotés, en mon absence.
Refrain
J´ai laissé, les fleurs du jardin se faner.
J´ai laissé, ton odeur sur l´oreiller.
J´ai laissé, les volets fermés tout l´été,
Pour ne plus voir, le jour se lever.
J´avoue,
C´est pas le bonheur.
Moi je rêvais d´amour,
Aujourd´hui j´en ai plus le cœur.
Je goutte,
Et j´effleure.
Nos je t´aime pour toujours,
Qui lentement se meurent.
Et j´imagine ce qu´il te dit,
Ce qu´il te fait, ce qu´il en pense.
Et je devine ce que tu vis,
A ses cotés, en mon absence.
Refrain
J´ai laissé, les fleurs du jardin se faner.
J´ai laissé, ton odeur sur l´oreiller.
J´ai laissé, les volets fermés tout l´été,
Pour ne plus voir, le jour se lever.
Et la nuit j´entends ta voix,
Et ton corps je le vois.
Mais la nuit j´entends, dans ta voix,
Que tu ne reviendras pas.
Refrain
J´ai laissé, les fleurs du jardin se faner.
J´ai laissé, ton odeur sur l´oreiller.
J´ai laissé, les volets fermés tout l´été,
Pour ne plus voir, le jour se lever.
J´ai laissé, j´ai laissé
J´ai laissé les fleurs se faner
J´ai laissé, j´ai laissé
J´ai laissé ton odeur sur l´oreiller
J´ai laissé, j´ai laissé
J´ai laissé les volets fermés
J´ai laissé, j´ai laissé
J´ai laissé les fleurs se faner
J´ai laissé, les fleurs du jardin se faner
J´ai laissé ton odeur sur l´oreiller
J´ai laissé les volets fermés tout l´été
Pour ne plus voir le jour se lever
Pour ne plus croire aux contes de fées
C´est pas le bonheur.
Moi je vivais d´amour,
Aujourd´hui je n´ai plus l´âme sœur.
J´écoute,
Ma douleur.
Et le silence est lourd,
Les secondes sont des heures.
Et j´imagine ce que tu dis,
Ce que tu fais, ce que tu penses.
Et je devine ce que tu vis,
A ses cotés, en mon absence.
Refrain
J´ai laissé, les fleurs du jardin se faner.
J´ai laissé, ton odeur sur l´oreiller.
J´ai laissé, les volets fermés tout l´été,
Pour ne plus voir, le jour se lever.
J´avoue,
C´est pas le bonheur.
Moi je rêvais d´amour,
Aujourd´hui j´en ai plus le cœur.
Je goutte,
Et j´effleure.
Nos je t´aime pour toujours,
Qui lentement se meurent.
Et j´imagine ce qu´il te dit,
Ce qu´il te fait, ce qu´il en pense.
Et je devine ce que tu vis,
A ses cotés, en mon absence.
Refrain
J´ai laissé, les fleurs du jardin se faner.
J´ai laissé, ton odeur sur l´oreiller.
J´ai laissé, les volets fermés tout l´été,
Pour ne plus voir, le jour se lever.
Et la nuit j´entends ta voix,
Et ton corps je le vois.
Mais la nuit j´entends, dans ta voix,
Que tu ne reviendras pas.
Refrain
J´ai laissé, les fleurs du jardin se faner.
J´ai laissé, ton odeur sur l´oreiller.
J´ai laissé, les volets fermés tout l´été,
Pour ne plus voir, le jour se lever.
J´ai laissé, j´ai laissé
J´ai laissé les fleurs se faner
J´ai laissé, j´ai laissé
J´ai laissé ton odeur sur l´oreiller
J´ai laissé, j´ai laissé
J´ai laissé les volets fermés
J´ai laissé, j´ai laissé
J´ai laissé les fleurs se faner
J´ai laissé, les fleurs du jardin se faner
J´ai laissé ton odeur sur l´oreiller
J´ai laissé les volets fermés tout l´été
Pour ne plus voir le jour se lever
Pour ne plus croire aux contes de fées