Le parfum
by Coup D'Marron
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Qui nous laisse deviner
Un bout d´intimité?
Un matinal embrun
De parfum
Il en dit plus qu´on croit
Elles perdent leur anonymat
D´une nuit qui n´a rien d´commun
Du beau brun
Fini l´incognito
Quand elles partent au boulot
Témoin involontaire
D´une amour passagère
D´un feu déjà défunt
Le parfum
J´en croise une dans la rue
Une qu´est plutôt fière de son cul
Orgueil inopportun
Trop commun
Dès qu´on ouvre les trous d´nez
On a l´impression d´la violer
Elle y va pas d´la morte main
Sur l´parfum
Et là dans l´poulailler
On pourrait tout deviner
Son image fragile
Qui tient comme ses faux-cils
Mais il en séduit plus d´un
Son parfum
Mais quand ça n´fait que souligner
La silhouette affriolée
D´une fille sur son trente-et-un
C´est pas rien
On goûte à ces amours passantes
Que Monsieur Brassens nous chante
Et l´on regrette d´avoir un
Nez trop fin
Les odeurs sont trop bavardes
Il faut préférer l´eau fade
Les senteurs myosotis
Ben, ça mène au voyeurisme
C´est pervers comme un pot d´vin
Le parfum
Et mais moi, j´ai trop peur
Que tu racontes nos bonheurs
Alors j´ai viré, malin
Ton parfum
Je l´ai troqué volontiers
Contre ta peau salée
Ou même l´odeur de tes seins
Au jasmin
Et moi je saurai tout
De c´qu´il y a d´beau entre nous
Je serai seul au courant
De tout c´qui coule dans not´ sang
De tes secrets j´s´rai l´gardien
Je serai... au parfum
Un bout d´intimité?
Un matinal embrun
De parfum
Il en dit plus qu´on croit
Elles perdent leur anonymat
D´une nuit qui n´a rien d´commun
Du beau brun
Fini l´incognito
Quand elles partent au boulot
Témoin involontaire
D´une amour passagère
D´un feu déjà défunt
Le parfum
J´en croise une dans la rue
Une qu´est plutôt fière de son cul
Orgueil inopportun
Trop commun
Dès qu´on ouvre les trous d´nez
On a l´impression d´la violer
Elle y va pas d´la morte main
Sur l´parfum
Et là dans l´poulailler
On pourrait tout deviner
Son image fragile
Qui tient comme ses faux-cils
Mais il en séduit plus d´un
Son parfum
Mais quand ça n´fait que souligner
La silhouette affriolée
D´une fille sur son trente-et-un
C´est pas rien
On goûte à ces amours passantes
Que Monsieur Brassens nous chante
Et l´on regrette d´avoir un
Nez trop fin
Les odeurs sont trop bavardes
Il faut préférer l´eau fade
Les senteurs myosotis
Ben, ça mène au voyeurisme
C´est pervers comme un pot d´vin
Le parfum
Et mais moi, j´ai trop peur
Que tu racontes nos bonheurs
Alors j´ai viré, malin
Ton parfum
Je l´ai troqué volontiers
Contre ta peau salée
Ou même l´odeur de tes seins
Au jasmin
Et moi je saurai tout
De c´qu´il y a d´beau entre nous
Je serai seul au courant
De tout c´qui coule dans not´ sang
De tes secrets j´s´rai l´gardien
Je serai... au parfum