C'était mon ami
by Dalida
lyricscopy.com
Il disait souvent je marche seul contre le vent
Je suis un enfant
Il disait je joue mais la victoire n´est rien du tout
Pour un roi fou
Il était de sang Romain de cœur Tzigane
C´était un homme qui faisait rêver les femmes
C´était mon ami
Ce rempart de vérité ce brin de fantaisie
J´aimais sa réalité son rire et sa folie
Cette façon d´exister envers et contre qui
C´était son identité de vivre ainsi
Il aimait le bruit, les chevaux libre et l´infini
Il était vivant
Il aimait choisir, il rêvait un jour de partir sur l´océan
Il était comme ses vitraux des cathédrales
C´était un homme qui brillait sans faire de mal.
C´était mon ami
Ce rempart de vérité, ce brin de fantaisie
J´aimais sa réalité son rire et sa folie
Cette façon d´exister envers et contre qui
C´était son identité de vivre ainsi
Quand je pense à lui
Je me souviens des matins aux couleurs du soleil
Quand je pense à lui
J´ai l´impression d´entendre sa voix qui m´appelle
C´était mon ami
Il ne parlait pas d´amour mais je l´aimais ainsi
En tendresse et en velours, oui c´était mon ami
Il pouvait jouer du tambour dans les rues de Paris
Et m´appeler au secours oui c´était mon ami
Ce rempart de vérité, ce brin de fantaisie
J´aimais sa réalité son rire et sa folie
Cette façon d´exister envers et contre qui
C´était son identité de vivre ainsi.
Je suis un enfant
Il disait je joue mais la victoire n´est rien du tout
Pour un roi fou
Il était de sang Romain de cœur Tzigane
C´était un homme qui faisait rêver les femmes
C´était mon ami
Ce rempart de vérité ce brin de fantaisie
J´aimais sa réalité son rire et sa folie
Cette façon d´exister envers et contre qui
C´était son identité de vivre ainsi
Il aimait le bruit, les chevaux libre et l´infini
Il était vivant
Il aimait choisir, il rêvait un jour de partir sur l´océan
Il était comme ses vitraux des cathédrales
C´était un homme qui brillait sans faire de mal.
C´était mon ami
Ce rempart de vérité, ce brin de fantaisie
J´aimais sa réalité son rire et sa folie
Cette façon d´exister envers et contre qui
C´était son identité de vivre ainsi
Quand je pense à lui
Je me souviens des matins aux couleurs du soleil
Quand je pense à lui
J´ai l´impression d´entendre sa voix qui m´appelle
C´était mon ami
Il ne parlait pas d´amour mais je l´aimais ainsi
En tendresse et en velours, oui c´était mon ami
Il pouvait jouer du tambour dans les rues de Paris
Et m´appeler au secours oui c´était mon ami
Ce rempart de vérité, ce brin de fantaisie
J´aimais sa réalité son rire et sa folie
Cette façon d´exister envers et contre qui
C´était son identité de vivre ainsi.