Quand même
by Édith Piaf
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Le bonheur quotidien,
Vraiment, ne me dit rien.
La vertu n´est que faiblesse
Qui voit sa fin dans le ciel.
Je préfère la promesse
Des paradis artificiels.
Je sais qu´à la porte d´un bar
Où j´aurai bu jusqu´à l´extrême,
On ramassera quelque part
Mon corps brûlé sur un brancard.
Je bois quand même...
Que sous la drogue lentement,
D´extase en extase suprême,
Je m´approche implacablement
Du sombre asile des déments.
J´en prends quand même...
Je sais qu´en la femme fatale,
Dans les bras d´un amant trop blême,
S´infiltrera l´horrible mal
Dont on crève au lit d´hôpital.
J´aime quand même...
Mes sens inapaisés,
Cherchant pour se griser
L´aventure des nuits louches,
Apportez-moi du nouveau.
Le désir crispe ma bouche.
La volupté brûle ma peau.
Je sais qu´à la porte d´un bar
Où j´aurai bu jusqu´à l´extrême,
On ramassera quelque part
Mon corps brûlé sur un brancard.
Je bois quand même...
Que sous la drogue lentement,
D´extase en extase suprême,
Je m´approche implacablement
Du sombre asile des déments.
J´en prends quand même...
Je sais qu´en la femme fatale,
Dans les bras d´un amant trop blême,
S´infiltrera l´horrible mal
Dont on crève au lit d´hôpital.
J´aime quand même...
Vraiment, ne me dit rien.
La vertu n´est que faiblesse
Qui voit sa fin dans le ciel.
Je préfère la promesse
Des paradis artificiels.
Je sais qu´à la porte d´un bar
Où j´aurai bu jusqu´à l´extrême,
On ramassera quelque part
Mon corps brûlé sur un brancard.
Je bois quand même...
Que sous la drogue lentement,
D´extase en extase suprême,
Je m´approche implacablement
Du sombre asile des déments.
J´en prends quand même...
Je sais qu´en la femme fatale,
Dans les bras d´un amant trop blême,
S´infiltrera l´horrible mal
Dont on crève au lit d´hôpital.
J´aime quand même...
Mes sens inapaisés,
Cherchant pour se griser
L´aventure des nuits louches,
Apportez-moi du nouveau.
Le désir crispe ma bouche.
La volupté brûle ma peau.
Je sais qu´à la porte d´un bar
Où j´aurai bu jusqu´à l´extrême,
On ramassera quelque part
Mon corps brûlé sur un brancard.
Je bois quand même...
Que sous la drogue lentement,
D´extase en extase suprême,
Je m´approche implacablement
Du sombre asile des déments.
J´en prends quand même...
Je sais qu´en la femme fatale,
Dans les bras d´un amant trop blême,
S´infiltrera l´horrible mal
Dont on crève au lit d´hôpital.
J´aime quand même...