Klausenbourg
by Eniko Szilagyi
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J´avais trois ans à Klausenbourg
{x2:}
Mon enfance c´est Klausenbourg
Mes mains deux glaçons d´amour
Face au mépris de ma mère
Et sa violence ordinaire
C´est une larme sur la joue
A l´heure où les enfants jouent
Et un Dieu comme une étoile
Qui s´enfuit sans faire d´escale
Petite enfance à Klausenbourg
Des jours qui ne voient pas le jour
Petite enfance comme une offense
Qui résonne en moi pour toujours
C´est mon père qui m´offre un jour
Une paire de chaussons rouges
Et ma mère qui me les vole
Qui me secoue comme un homme
La fêlure d´une enfant pâle
Qui se réfugie sous l´arbre
Qui se nourrit de ses feuilles
Qui les mange comme un cerfeuil
Un mal qui emplit mon corps
Comme un flirt avec la mort
J´étais prête à l´embrasser
Mourir au premier baiser
Petite enfance à Klausenbourg
Des jours qui ne voient pas le jour
Petite enfance comme une offense
Devrai-je te pardonner un jour?
A trois ans, à Klausenbourg
Des blouses blanches m´entourent
Si réservées sur mon sort
Mais mon cœur battait encore
Un an plus tard, je sortais
Et mon père m´accueillait
C´aurait pu être une fête
Ma mère à tourné la tête
Petite enfance à Klausenbourg
J´ demandais juste un peu d´amour
Petite enfance, tout innocence
Et qui repose à Klausenbourg
Petite enfance morte pour toujours
Et qui repose à Klausenbourg
{x2:}
Mon enfance c´est Klausenbourg
Mes mains deux glaçons d´amour
Face au mépris de ma mère
Et sa violence ordinaire
C´est une larme sur la joue
A l´heure où les enfants jouent
Et un Dieu comme une étoile
Qui s´enfuit sans faire d´escale
Petite enfance à Klausenbourg
Des jours qui ne voient pas le jour
Petite enfance comme une offense
Qui résonne en moi pour toujours
C´est mon père qui m´offre un jour
Une paire de chaussons rouges
Et ma mère qui me les vole
Qui me secoue comme un homme
La fêlure d´une enfant pâle
Qui se réfugie sous l´arbre
Qui se nourrit de ses feuilles
Qui les mange comme un cerfeuil
Un mal qui emplit mon corps
Comme un flirt avec la mort
J´étais prête à l´embrasser
Mourir au premier baiser
Petite enfance à Klausenbourg
Des jours qui ne voient pas le jour
Petite enfance comme une offense
Devrai-je te pardonner un jour?
A trois ans, à Klausenbourg
Des blouses blanches m´entourent
Si réservées sur mon sort
Mais mon cœur battait encore
Un an plus tard, je sortais
Et mon père m´accueillait
C´aurait pu être une fête
Ma mère à tourné la tête
Petite enfance à Klausenbourg
J´ demandais juste un peu d´amour
Petite enfance, tout innocence
Et qui repose à Klausenbourg
Petite enfance morte pour toujours
Et qui repose à Klausenbourg