La garde meurt mais ne se rend pas
by Faf La Rage
lyricscopy.com
{Refrain:}
La garde meurt mais ne se rend pas,
Meurt mais ne se rend pas.
Ne plie pas, ne casse pas,
Meurt mais ne se rend pas.
[Shurik´n]:
Ta route s´arrête là, au bout de mon sabre.
Les sages qui entrent ici le savent, les braves,
Sans une larme sacrifient leurs âmes.
Es tu prêt pour ca? Vivre où la rose ne pousse pas.
Tenir le micro comme un katana, briser l´ennemi en combat.
Les plaines plieront sous nos sabots, qui plieront ces nabots.
Tremblement de terre, C.O. l´obscur lâche ses hérauts.
Incandescente lame, Maître de l´art ancestral,
Expert en technique martiale, te voilà Duc de Nottingham
Comme Sherwood, Mars bastion de la rebellion.
Prêt à guerroyer contre la repression, sanctionne sans sommation.
Nomme des témoins, donne l´heure de la confrontation.
Le fief, pour lui démonstration de notre dévotion.
Armé de Stormbringa la peur se tire, belle journée pour vouloir fuir,
Se repentir, courir, occire, jouir, mourir avec le sourire.
Finir l´épée au poing, une tête de facho dans la main.
Oublier demain, s´évaporer comme la fumée d´un joint.
Mais le triste sire aspire à conquérir la terre.
Rassemblez les légions sous la bannière de la maison mère.
Embrassez vos fermières, l´odeur de fer dans l´air.
Annonciateur des flammes de l´enfer éveille l´esprit de vos cimeterres.
Tel Minamoto je brandis mon Tanto bien haut.
Kama entre les dents, clairon sonne la charge.
Sus aux marauds, taïaut, les couards félons fuient face au fléau.
Fléau, Fléau d´arme, Pow! dans le dos, rejoins le Très-Haut.
Je boute les gueux hors du sentier, traque les mécréants.
Les change en palefreniers, en serviteurs dévoués.
Les pieds calés dans mes étriers sur mon fier destrier.
L´entripaille au nom de mes armoiries et
Nous conterons nos glorieuses batailles lors d´un banquet.
Flashback sur nos conquètes passées entre 2 gibiers planté
Au centre de la table ronde, le blason pour que tous n´oublient pas.
La garde meurt mais ne se rend pas.
{au Refrain}
[Faf LaRage]:
Soldat un constat: vue de haut la plaine se dessine.
Trace la fresque pour mon estime, sur feuille immortalise là.
La félonie a failli, Veni, Vidi, Vici.
Mais une troupe résiste avec la hargne du désespoir.
Dans ce cas le légat, l´Enc, entre en action.
Force m´est de croire qu´il faut un exemple.
"Un capitaine en haillons" Allons-y donc fils!
Consultez les grimoires d´antan, qu´ils sombrent dans la folie.
Qu´importe les méthodes, le nombre, ignoble donc serais-je.
Que capitulent les écervelés sous ma colère.
L´échec n´a pas de sens, vois le champ de batailles.
Un chateau réduit en cendres, des troupes en tenaille.
Leurs gentes dames viennent supplier jusqu´à faire don de leur corps.
Mais le feu est mort, la paille n´offre plus de confort.
Reviens à la réalité, petit, choisis donc, ici, maintenant,
Ton camp, c´est ton dernier choix, subis la mort ou la loi.
Jeter le gant, ignare, espère un duel avec le duc?
Ton âme appartient déja à Stormbringa.
Ce halo noir qui surplombe ma victoire.
Moi du haut de la falaise, bras croisés, ma botte sur un couard!
Lieutenant, rassemblez la horde de loups.
Vite, rejoindre Shurik´n pour la dernière joute.
En route, si vous croisez un étendard avec une flamme encore intacte,
Brûlez! puis tranchez les têtes qui dépassent.
Je finirais les incantations pour protéger enfin la Maison Mère.
Mars! Éradiquez ces rapaces!
"Eux ou nous" les astres ont choisi, alors la prophétie fatale s´accomplit.
Le Hip Hop déchaîne son courroux.
Une vision au loin mon frère son rictus, carnassier,
Rituel, pourfendre ses adversaires de sa selle.
Mon épée démon siffle un chant sourd qui m´enivre,
Eperonne ma monture, cabre, charge droit devant.
Les cendres et les corps témoigneront que tout le monde
Se souvienne ici bas: La garde meurt mais ne se rend pas.
{au Refrain}
La garde meurt mais ne se rend pas,
Meurt mais ne se rend pas.
Ne plie pas, ne casse pas,
Meurt mais ne se rend pas.
[Shurik´n]:
Ta route s´arrête là, au bout de mon sabre.
Les sages qui entrent ici le savent, les braves,
Sans une larme sacrifient leurs âmes.
Es tu prêt pour ca? Vivre où la rose ne pousse pas.
Tenir le micro comme un katana, briser l´ennemi en combat.
Les plaines plieront sous nos sabots, qui plieront ces nabots.
Tremblement de terre, C.O. l´obscur lâche ses hérauts.
Incandescente lame, Maître de l´art ancestral,
Expert en technique martiale, te voilà Duc de Nottingham
Comme Sherwood, Mars bastion de la rebellion.
Prêt à guerroyer contre la repression, sanctionne sans sommation.
Nomme des témoins, donne l´heure de la confrontation.
Le fief, pour lui démonstration de notre dévotion.
Armé de Stormbringa la peur se tire, belle journée pour vouloir fuir,
Se repentir, courir, occire, jouir, mourir avec le sourire.
Finir l´épée au poing, une tête de facho dans la main.
Oublier demain, s´évaporer comme la fumée d´un joint.
Mais le triste sire aspire à conquérir la terre.
Rassemblez les légions sous la bannière de la maison mère.
Embrassez vos fermières, l´odeur de fer dans l´air.
Annonciateur des flammes de l´enfer éveille l´esprit de vos cimeterres.
Tel Minamoto je brandis mon Tanto bien haut.
Kama entre les dents, clairon sonne la charge.
Sus aux marauds, taïaut, les couards félons fuient face au fléau.
Fléau, Fléau d´arme, Pow! dans le dos, rejoins le Très-Haut.
Je boute les gueux hors du sentier, traque les mécréants.
Les change en palefreniers, en serviteurs dévoués.
Les pieds calés dans mes étriers sur mon fier destrier.
L´entripaille au nom de mes armoiries et
Nous conterons nos glorieuses batailles lors d´un banquet.
Flashback sur nos conquètes passées entre 2 gibiers planté
Au centre de la table ronde, le blason pour que tous n´oublient pas.
La garde meurt mais ne se rend pas.
{au Refrain}
[Faf LaRage]:
Soldat un constat: vue de haut la plaine se dessine.
Trace la fresque pour mon estime, sur feuille immortalise là.
La félonie a failli, Veni, Vidi, Vici.
Mais une troupe résiste avec la hargne du désespoir.
Dans ce cas le légat, l´Enc, entre en action.
Force m´est de croire qu´il faut un exemple.
"Un capitaine en haillons" Allons-y donc fils!
Consultez les grimoires d´antan, qu´ils sombrent dans la folie.
Qu´importe les méthodes, le nombre, ignoble donc serais-je.
Que capitulent les écervelés sous ma colère.
L´échec n´a pas de sens, vois le champ de batailles.
Un chateau réduit en cendres, des troupes en tenaille.
Leurs gentes dames viennent supplier jusqu´à faire don de leur corps.
Mais le feu est mort, la paille n´offre plus de confort.
Reviens à la réalité, petit, choisis donc, ici, maintenant,
Ton camp, c´est ton dernier choix, subis la mort ou la loi.
Jeter le gant, ignare, espère un duel avec le duc?
Ton âme appartient déja à Stormbringa.
Ce halo noir qui surplombe ma victoire.
Moi du haut de la falaise, bras croisés, ma botte sur un couard!
Lieutenant, rassemblez la horde de loups.
Vite, rejoindre Shurik´n pour la dernière joute.
En route, si vous croisez un étendard avec une flamme encore intacte,
Brûlez! puis tranchez les têtes qui dépassent.
Je finirais les incantations pour protéger enfin la Maison Mère.
Mars! Éradiquez ces rapaces!
"Eux ou nous" les astres ont choisi, alors la prophétie fatale s´accomplit.
Le Hip Hop déchaîne son courroux.
Une vision au loin mon frère son rictus, carnassier,
Rituel, pourfendre ses adversaires de sa selle.
Mon épée démon siffle un chant sourd qui m´enivre,
Eperonne ma monture, cabre, charge droit devant.
Les cendres et les corps témoigneront que tout le monde
Se souvienne ici bas: La garde meurt mais ne se rend pas.
{au Refrain}