Nuits fauves
by Fauve
lyricscopy.com
Regardes pas les affiches
Fais pas gaffe aux signaux
Mets bien tes mains sur tes oreilles
Quand t´entends rire les narvalos sauvagement
Ceux qui portent leur membre à bout de bras
Qui te disent qu´un cul ça s´attrape ou ça n´est pas
De quoi t´as peur?
Alors dis leur que ton machin est contrarié
Que parfois quand une fille te parle
Tu sens tes billes se rétracter
Depuis que cartonne au box-office
La grande idée selon laquelle la compassion c´est dépassé
Dis-leur que tu te sens seul
Et que tu sais plus quoi faire pour trouver un peu de chaleur humaine :
Aller au bois pour que quelqu´un accepte enfin
De toucher ton zob
Tripoter de la lycéenne
Porter des robes?
Te trémousser en talons hauts comme un gogo
Puis arpenter les ruelles sombres en secouant ta clochette
C´est un peu à cause de tout ça si tous les soirs / c´est la même histoire
Métro apéro lexo clopes et films pornos à l´ancienne
Sur lesquels tu t´entraînes rageusement
Même si ça fait longtemps que ça t´amuse plus vraiment
Mais il faut pas que tu désespères
Perds pas espoir
Promis juré qu´on la vivra notre putain de belle histoire
Ce sera plus des mensonges
Quelque chose de grand
Qui sauve la vie qui trompe la mort qui déglingue enfin le blizzard
Imagine-toi : t´es là en train de te reprendre un verre au bar
Quand tout à coup tu croises un regard qui te perfore de part en part
Imagine-toi : t´es là ça te tombe dessus sans crier gare
Un truc bandant un truc dément qui redonne la foi
Un truc comme ça :
« Bonsoir, bonsoir, quelle chance de se croiser ici
Bonsoir, bonsoir, je voudrais partager tes nuits »
Tu connaîtras les nuits fauves je te le promets
Elle sera tigre en embuscade quand tu viens te glisser sous ses draps
Tandis que toi tu feras scintiller tes canines lorsqu´elle enlève le bas
Elle t´offrira des feulements dans sa voix lorsqu´elle reprend son souffle
Qui s´échappent dans la cour pour aller faire gauler la Lune
Des coups de bélier invoqués comme un miracle
Et qui veulent dire : « Si tu t´arrêtes, je meurs »
Toutes ces choses qui te la feront raidir rien qu´à te souvenir
Pour le million d´années à venir
Malheureusement tout ce qu´on t´offre pour l´instant
C´est des chattes épilées et des seins en plastique en vidéo
C´est terrifiant
Tout le monde veut la même chose
Même les travelos rêvent du prince charmant
Et pourtant on passe notre temps
A se mettre des coups de cutter dans les paumes
A trop mentir à force de dire :
« Par pitié, range la guimauve
Ecarte les jambes, je t´en supplie, me parles pas…
Laisse-moi seulement kiffer mon va-et-vient de taulard
Et m´endormir direct moins de trois minutes plus tard »
A force de faire tout ça, on croyait quoi?
On se meurtrit on fait l´amour comme on s´essuie
Quel gaspillage
Mais il faut pas que tu désespères
Perds pas espoir
Promis juré qu´on la vivra notre putain de belle histoire
Ce sera plus des mensonges
Quelque chose de grand
Qui sauve la vie qui trompe la mort qui déglingue enfin le blizzard
Imagine-toi : t´es là en train de te reprendre un verre au bar
Quand tout à coup tu croises un regard qui te perfore de part en part
Imagine-toi : t´es là ça te tombe dessus sans crier gare
Un truc bandant un truc dément qui redonne la foi
Offre-moi dès ce soir
Ta peau brune et tes lèvres mauves
Tes seins tes reins tes cheveux noirs
Et qu´on se noie dans les nuits fauves
En échange de tout ça
Je t´offre ce dont je dispose
Mon corps mon âme prends tout tout de suite
Et qu´on se noie dans les nuits fauves
Et tant pis si on nous prend pour des demeurés
Bien sûr qu´on sait qu´ici c´est pas Hollywood
Sauf qu´aux dernières nouvelles
Le fantasme c´est encore gratuit
C´est pour ça qu´on se réfugie dans nos pensées
Qu´on ferme les yeux très fort jusqu´à voir des couleurs
En attendant que ça passe
Y a que comme ça qu´on peut rêver de caresses au réveil
Et de regards qui veulent dire : « T´inquiètes plus, t´inquiètes plus »
De coups de poings dans le cœur
De 40e qui rugissent dans nos poumons à faire sauter les côtes
De torrents dans nos veines
D´une épaule pour pleurer sans honte
Et d´une oreille pour tout dire
Tout dire toujours quoi qu´il arrive
De serments argentés prononcés face au rayon vert :
« Est-ce que tu veux m´épouser? Vivre et mourir à mes côtés? »
On rêve de réapprendre à respirer
Que la médiocrité qui nous accable
Aille se faire enfler au Pakistan
On attend désespérément celui ou celle
Qui apaisera d´un doigt nos muscles noués
Et nos encéphales en sous-régime
On attend désespérément celui ou celle
Qui fera battre notre cœur
Plus grand
C´est pour ça qu´il faut pas que tu désespères
Perds pas espoir
Promis juré qu´on la vivra notre putain de belle histoire
Ce sera plus des mensonges
Quelque chose de grand
Qui sauve la vie qui trompe la mort qui déglingue enfin le blizzard
Imagine-toi : t´es là en train de te reprendre un verre au bar
Quand tout à coup tu croises un regard qui te perfore de part en part
Imagine-toi : t´es là ça te tombe dessus sans crier gare
Un truc bandant un truc dément qui redonne la foi un truc comme ça :
« Je voudrais qu´on monte l´escalier en courant, que tu me fasse l´amour jusqu´à l´aube pendant deux nuits, que le soir au soleil couchant on se fasse des câlins.
J´voudrais tellement partager tes nuits, j´ai tant besoin de ton sourire, j´ai tant besoin qu´on se voit dans les nuits fauves.»
Fais pas gaffe aux signaux
Mets bien tes mains sur tes oreilles
Quand t´entends rire les narvalos sauvagement
Ceux qui portent leur membre à bout de bras
Qui te disent qu´un cul ça s´attrape ou ça n´est pas
De quoi t´as peur?
Alors dis leur que ton machin est contrarié
Que parfois quand une fille te parle
Tu sens tes billes se rétracter
Depuis que cartonne au box-office
La grande idée selon laquelle la compassion c´est dépassé
Dis-leur que tu te sens seul
Et que tu sais plus quoi faire pour trouver un peu de chaleur humaine :
Aller au bois pour que quelqu´un accepte enfin
De toucher ton zob
Tripoter de la lycéenne
Porter des robes?
Te trémousser en talons hauts comme un gogo
Puis arpenter les ruelles sombres en secouant ta clochette
C´est un peu à cause de tout ça si tous les soirs / c´est la même histoire
Métro apéro lexo clopes et films pornos à l´ancienne
Sur lesquels tu t´entraînes rageusement
Même si ça fait longtemps que ça t´amuse plus vraiment
Mais il faut pas que tu désespères
Perds pas espoir
Promis juré qu´on la vivra notre putain de belle histoire
Ce sera plus des mensonges
Quelque chose de grand
Qui sauve la vie qui trompe la mort qui déglingue enfin le blizzard
Imagine-toi : t´es là en train de te reprendre un verre au bar
Quand tout à coup tu croises un regard qui te perfore de part en part
Imagine-toi : t´es là ça te tombe dessus sans crier gare
Un truc bandant un truc dément qui redonne la foi
Un truc comme ça :
« Bonsoir, bonsoir, quelle chance de se croiser ici
Bonsoir, bonsoir, je voudrais partager tes nuits »
Tu connaîtras les nuits fauves je te le promets
Elle sera tigre en embuscade quand tu viens te glisser sous ses draps
Tandis que toi tu feras scintiller tes canines lorsqu´elle enlève le bas
Elle t´offrira des feulements dans sa voix lorsqu´elle reprend son souffle
Qui s´échappent dans la cour pour aller faire gauler la Lune
Des coups de bélier invoqués comme un miracle
Et qui veulent dire : « Si tu t´arrêtes, je meurs »
Toutes ces choses qui te la feront raidir rien qu´à te souvenir
Pour le million d´années à venir
Malheureusement tout ce qu´on t´offre pour l´instant
C´est des chattes épilées et des seins en plastique en vidéo
C´est terrifiant
Tout le monde veut la même chose
Même les travelos rêvent du prince charmant
Et pourtant on passe notre temps
A se mettre des coups de cutter dans les paumes
A trop mentir à force de dire :
« Par pitié, range la guimauve
Ecarte les jambes, je t´en supplie, me parles pas…
Laisse-moi seulement kiffer mon va-et-vient de taulard
Et m´endormir direct moins de trois minutes plus tard »
A force de faire tout ça, on croyait quoi?
On se meurtrit on fait l´amour comme on s´essuie
Quel gaspillage
Mais il faut pas que tu désespères
Perds pas espoir
Promis juré qu´on la vivra notre putain de belle histoire
Ce sera plus des mensonges
Quelque chose de grand
Qui sauve la vie qui trompe la mort qui déglingue enfin le blizzard
Imagine-toi : t´es là en train de te reprendre un verre au bar
Quand tout à coup tu croises un regard qui te perfore de part en part
Imagine-toi : t´es là ça te tombe dessus sans crier gare
Un truc bandant un truc dément qui redonne la foi
Offre-moi dès ce soir
Ta peau brune et tes lèvres mauves
Tes seins tes reins tes cheveux noirs
Et qu´on se noie dans les nuits fauves
En échange de tout ça
Je t´offre ce dont je dispose
Mon corps mon âme prends tout tout de suite
Et qu´on se noie dans les nuits fauves
Et tant pis si on nous prend pour des demeurés
Bien sûr qu´on sait qu´ici c´est pas Hollywood
Sauf qu´aux dernières nouvelles
Le fantasme c´est encore gratuit
C´est pour ça qu´on se réfugie dans nos pensées
Qu´on ferme les yeux très fort jusqu´à voir des couleurs
En attendant que ça passe
Y a que comme ça qu´on peut rêver de caresses au réveil
Et de regards qui veulent dire : « T´inquiètes plus, t´inquiètes plus »
De coups de poings dans le cœur
De 40e qui rugissent dans nos poumons à faire sauter les côtes
De torrents dans nos veines
D´une épaule pour pleurer sans honte
Et d´une oreille pour tout dire
Tout dire toujours quoi qu´il arrive
De serments argentés prononcés face au rayon vert :
« Est-ce que tu veux m´épouser? Vivre et mourir à mes côtés? »
On rêve de réapprendre à respirer
Que la médiocrité qui nous accable
Aille se faire enfler au Pakistan
On attend désespérément celui ou celle
Qui apaisera d´un doigt nos muscles noués
Et nos encéphales en sous-régime
On attend désespérément celui ou celle
Qui fera battre notre cœur
Plus grand
C´est pour ça qu´il faut pas que tu désespères
Perds pas espoir
Promis juré qu´on la vivra notre putain de belle histoire
Ce sera plus des mensonges
Quelque chose de grand
Qui sauve la vie qui trompe la mort qui déglingue enfin le blizzard
Imagine-toi : t´es là en train de te reprendre un verre au bar
Quand tout à coup tu croises un regard qui te perfore de part en part
Imagine-toi : t´es là ça te tombe dessus sans crier gare
Un truc bandant un truc dément qui redonne la foi un truc comme ça :
« Je voudrais qu´on monte l´escalier en courant, que tu me fasse l´amour jusqu´à l´aube pendant deux nuits, que le soir au soleil couchant on se fasse des câlins.
J´voudrais tellement partager tes nuits, j´ai tant besoin de ton sourire, j´ai tant besoin qu´on se voit dans les nuits fauves.»