François béranger
by Frasiak
lyricscopy.com
Avec ta grosse voix, ta guitare
Tes poings serrés, ta gueule d´anar
Tout c´ que tu chantais, c´était beau
"Paris-Lumière", "Comme un chromo"
C´était le temps des années belles
Le monde, c´était pas une poubelle
C´était pas l´ paradis non plus
Et pourtant qu´est-c´ qu´on y a cru
C´étaient les années soixante-dix
Y avait un accordéoniste
Qui faisait carrière à l´Élysée
Tu passais pas dans les télés
On n´entendait à la radio
Que la même bande de rigolos
Fallait aller dans les MJ
Pour écouter tes "Tranches de vie"
Si un jour j´ai pris une guitare
Joué dans les bals et les bars
C´était pour chanter "Natacha"
"Le monde bouge", "Nous sommes un cas"
C´est toi qui m´as donné envie
De les chanter pour être en vie
"Tous ces mots terribles" qui font
Et du bonheur et des chansons
J´ai fini par suivre ta voix
Écrit mon "Manifeste" à moi
En essayant avec des mots
De rendre le monde un peu plus beau
Mais à chaque rime, à chaque refrain
Je repense à ce rêve ancien
Que je faisais en t´imitant
Sur la guitare de mes quinze ans
T´as décollé une dernière fois
Au mois d´octobre en deux mille trois
Pour aller voir c´ qu´il y a ailleurs
Dans ton bel avion migrateur
Là-haut, tu dois gueuler encore
Dire merde aux anges et à la mort
Dans le ciel noir avec "Rachel"
Et le Pierre-Albert Espénel
Salut, mon vieux maître à chanter
Je voulais pas te déranger
Mais j´avais envie d´ faire un tour
Là-bas, du côté de l´amour
Salut, mon François Béranger
Le monde a pas vraiment changé
Il en faudra encore des chansons
Pour essayer qu´il soit moins con
Avec ta grosse voix, ta guitare
Tes poings serrés, ta gueule d´anar
Tout c´ que tu chantais, c´était beau
"Le monument aux oiseaux"
C´était le temps des années belles
Le monde, c´était pas une poubelle
C´était pas l´ paradis non plus
Et pourtant qu´est-c´ qu´on y a cru
Tes poings serrés, ta gueule d´anar
Tout c´ que tu chantais, c´était beau
"Paris-Lumière", "Comme un chromo"
C´était le temps des années belles
Le monde, c´était pas une poubelle
C´était pas l´ paradis non plus
Et pourtant qu´est-c´ qu´on y a cru
C´étaient les années soixante-dix
Y avait un accordéoniste
Qui faisait carrière à l´Élysée
Tu passais pas dans les télés
On n´entendait à la radio
Que la même bande de rigolos
Fallait aller dans les MJ
Pour écouter tes "Tranches de vie"
Si un jour j´ai pris une guitare
Joué dans les bals et les bars
C´était pour chanter "Natacha"
"Le monde bouge", "Nous sommes un cas"
C´est toi qui m´as donné envie
De les chanter pour être en vie
"Tous ces mots terribles" qui font
Et du bonheur et des chansons
J´ai fini par suivre ta voix
Écrit mon "Manifeste" à moi
En essayant avec des mots
De rendre le monde un peu plus beau
Mais à chaque rime, à chaque refrain
Je repense à ce rêve ancien
Que je faisais en t´imitant
Sur la guitare de mes quinze ans
T´as décollé une dernière fois
Au mois d´octobre en deux mille trois
Pour aller voir c´ qu´il y a ailleurs
Dans ton bel avion migrateur
Là-haut, tu dois gueuler encore
Dire merde aux anges et à la mort
Dans le ciel noir avec "Rachel"
Et le Pierre-Albert Espénel
Salut, mon vieux maître à chanter
Je voulais pas te déranger
Mais j´avais envie d´ faire un tour
Là-bas, du côté de l´amour
Salut, mon François Béranger
Le monde a pas vraiment changé
Il en faudra encore des chansons
Pour essayer qu´il soit moins con
Avec ta grosse voix, ta guitare
Tes poings serrés, ta gueule d´anar
Tout c´ que tu chantais, c´était beau
"Le monument aux oiseaux"
C´était le temps des années belles
Le monde, c´était pas une poubelle
C´était pas l´ paradis non plus
Et pourtant qu´est-c´ qu´on y a cru