Faites l'amour, pas des enfants
by Fred Fresh
lyricscopy.com
on etait jeune on etait beau insoucient et fière de l´etre
on faisait tout le temps la fête comme dirait Pierre,
ni dieu ni maitre.
on regniait la religions, l´ecole et les institutions
on jouait avec le coeur des filles comme certains tapent dans un balon
on avait de l´espoir plein le coeur, des bons amis, un bon dealler
on avait pas encore besoin de se gaver d´anti-depresseur
on etait comme des oiseaux dont la cage etait la planète,
l´esprit comme pris dans un etau avec des images plein la tête
toujours les nerfs a fleur de peaux, un rien pouvait nous emouvoir.
au dernier rang de la classe au moins de là on peut tout voir.
on suivait des modes a la con en liberté dans une prison quand la dictature de la mode a pris le pas sur la raison.
on allait dans des magasins ou les vendeurs nous veulent du bien,
on portait des habit tissés pas des enfant qui ne mange rien
faut de tout pour faire un monde c´est c´qu´on m´a toujours expliqué mais il n´y pas de place pour tout le monde, il va faloir se raviser.
les yeux rivés sur des idoles qui nous vendent la verité ou on consumme notre existence pour une cuisine un canapé.
sans reflechir on se sent libre, on est seulement enfermé
ou seul les cons fuient, les conflits, elevons nos voix de conscerné.
on touchait du doigt le bonheur entre nos rires entre nos pleurs y avait de la place pour l´amitié il y avait de la place pour nos peurs
ptêtre qu´un jour on sera parents mais putain c´est pas demain la veille
plus ça tourne moins c´est carré j´ai déjà commencé mon dueille
quand il n´y a plus rien a espérer on trouve le refuge dans la crainte
quand il n´y a plus d´air a respirer alors c´est clair que c´est la fin.
dans un monde ou un clown a le controle de la cuisine, je refuse de collaborer je prefère fuire en argentine.
on passe de pledo à pleymo, de play-school à play-boy
aller me faire croire que toutes les filles on dans leur sac un sex-toy
les donc jeunes et jolies avant d´être vielles et moches.
on a tous un portable en guise de balise dans la poche,
car libre comme l´air sous la lueur des reverbère
arrètes ta crise d´adolescence, c´est la crise financière.
grandir veut dire murir et viellir veut dire mourir.
si un jour j´ai un groupe de rock je l´appellerais le même en pire.
dans un monde ou on trouve sa moitier sur des sites de boules maquillés en sites de rencontres: on est tout seul dans la foule.
quand on nait on n´est seul, qaund on mourra on le sera plus
va donc expliquer aux gamins, on peut le moins mais pas le plus
il est bien loin de nous le temps ou on jouait a la marrelle, ou pour des legos ou des billes pouvait exploser une querelle
aujourd´hui a 7ans un ecran tactile dans la poche
englué des icones ouai tant pis pour toi si t´es moche
donnons la parole aux muets, que les sourds ne s´entendent plus
bien elevé mal retombé car des viellards meurent dans la rue
si je depassent les 50ans, j´dirais aux jeunes d´une voix très nette: "faites l´amour, pas des enfants" demande a Pomme si elle regrète
on faisait tout le temps la fête comme dirait Pierre,
ni dieu ni maitre.
on regniait la religions, l´ecole et les institutions
on jouait avec le coeur des filles comme certains tapent dans un balon
on avait de l´espoir plein le coeur, des bons amis, un bon dealler
on avait pas encore besoin de se gaver d´anti-depresseur
on etait comme des oiseaux dont la cage etait la planète,
l´esprit comme pris dans un etau avec des images plein la tête
toujours les nerfs a fleur de peaux, un rien pouvait nous emouvoir.
au dernier rang de la classe au moins de là on peut tout voir.
on suivait des modes a la con en liberté dans une prison quand la dictature de la mode a pris le pas sur la raison.
on allait dans des magasins ou les vendeurs nous veulent du bien,
on portait des habit tissés pas des enfant qui ne mange rien
faut de tout pour faire un monde c´est c´qu´on m´a toujours expliqué mais il n´y pas de place pour tout le monde, il va faloir se raviser.
les yeux rivés sur des idoles qui nous vendent la verité ou on consumme notre existence pour une cuisine un canapé.
sans reflechir on se sent libre, on est seulement enfermé
ou seul les cons fuient, les conflits, elevons nos voix de conscerné.
on touchait du doigt le bonheur entre nos rires entre nos pleurs y avait de la place pour l´amitié il y avait de la place pour nos peurs
ptêtre qu´un jour on sera parents mais putain c´est pas demain la veille
plus ça tourne moins c´est carré j´ai déjà commencé mon dueille
quand il n´y a plus rien a espérer on trouve le refuge dans la crainte
quand il n´y a plus d´air a respirer alors c´est clair que c´est la fin.
dans un monde ou un clown a le controle de la cuisine, je refuse de collaborer je prefère fuire en argentine.
on passe de pledo à pleymo, de play-school à play-boy
aller me faire croire que toutes les filles on dans leur sac un sex-toy
les donc jeunes et jolies avant d´être vielles et moches.
on a tous un portable en guise de balise dans la poche,
car libre comme l´air sous la lueur des reverbère
arrètes ta crise d´adolescence, c´est la crise financière.
grandir veut dire murir et viellir veut dire mourir.
si un jour j´ai un groupe de rock je l´appellerais le même en pire.
dans un monde ou on trouve sa moitier sur des sites de boules maquillés en sites de rencontres: on est tout seul dans la foule.
quand on nait on n´est seul, qaund on mourra on le sera plus
va donc expliquer aux gamins, on peut le moins mais pas le plus
il est bien loin de nous le temps ou on jouait a la marrelle, ou pour des legos ou des billes pouvait exploser une querelle
aujourd´hui a 7ans un ecran tactile dans la poche
englué des icones ouai tant pis pour toi si t´es moche
donnons la parole aux muets, que les sourds ne s´entendent plus
bien elevé mal retombé car des viellards meurent dans la rue
si je depassent les 50ans, j´dirais aux jeunes d´une voix très nette: "faites l´amour, pas des enfants" demande a Pomme si elle regrète