Le syndrome de peter pan
by Freedom For King Kong
lyricscopy.com
{Refrain:}
J´ai le syndrome de Peter Pan, j´me conduis comme un enfant.
Si cela vous rend nerveux, moi ça me rend morveux.
J´ai le syndrome de Peter Pan, je refuse de devenir grand.
Chj´fais des sheks, chj´fais des boums, des shakalalakaboums.
Accroché à mon enfance, comme une moule à un rocher,
Refusant de toute évidence la mort des contes de fées,
De manière si lucide et préméditée, que même le capitaine ne peux me décrocher.
Laisser fuir son imaginaire c´est se déshumaniser, le matériel est qu´éphémère, l´esprit éternité.
On crève de trop en faire, mais pas de trop rêver. On rêve de tant en faire, qu´on oublie d´exister.
Mais si pour vous le jeu n´en vaut pas la chandelle,
de mon nez, quand je le veux, en coulent de plus belles.
Il n´est pas né(z) celui qui pourra me moucher, car à la fin de l´envoi je l´aurai toucher.
Pour moi, il est grand temps de constater, que le syndrome de Peter Pan m´a foudroyé.
De me rendre à l´évidence, sans hésitation, je suis resté un spécimen polisson.
{au Refrain}
Je ne suis pas la première personne à le constater, mes actes, beaucoup de personne font jazzer.
Il est plus d´un être que j´insupporte quand j´arbore fièrement ma couche culotte.
Certains feraient mieux d´en porter aussi, ça évacuerait la merde collée à leur esprit.
En opposition à la morosité, c´est une protection de grande qualité.
Etre plein de certitudes et de phobies à la fois, si c´est ça être adulte alors je ne le suis pas.
Etre un môme à défaut d´une momie, faire corps à corps avec fantaisie.
{au Refrain}
Je réclame le droit d´être un petit con.
Même les hommes qui partent à la guerre ont des visages d´enfants.
Je ne voit pas pourquoi on me ferait la leçon, les enfants qui s´ignorent sont de grands cons.
Il y a tant de gens qui se sentent mal areu, âgés d´esprit avant d´être vieux. X2
{au Refrain}
J´ai le syndrome de Peter Pan, j´me conduis comme un enfant.
Si cela vous rend nerveux, moi ça me rend morveux.
J´ai le syndrome de Peter Pan, je refuse de devenir grand.
Chj´fais des sheks, chj´fais des boums, des shakalalakaboums.
Accroché à mon enfance, comme une moule à un rocher,
Refusant de toute évidence la mort des contes de fées,
De manière si lucide et préméditée, que même le capitaine ne peux me décrocher.
Laisser fuir son imaginaire c´est se déshumaniser, le matériel est qu´éphémère, l´esprit éternité.
On crève de trop en faire, mais pas de trop rêver. On rêve de tant en faire, qu´on oublie d´exister.
Mais si pour vous le jeu n´en vaut pas la chandelle,
de mon nez, quand je le veux, en coulent de plus belles.
Il n´est pas né(z) celui qui pourra me moucher, car à la fin de l´envoi je l´aurai toucher.
Pour moi, il est grand temps de constater, que le syndrome de Peter Pan m´a foudroyé.
De me rendre à l´évidence, sans hésitation, je suis resté un spécimen polisson.
{au Refrain}
Je ne suis pas la première personne à le constater, mes actes, beaucoup de personne font jazzer.
Il est plus d´un être que j´insupporte quand j´arbore fièrement ma couche culotte.
Certains feraient mieux d´en porter aussi, ça évacuerait la merde collée à leur esprit.
En opposition à la morosité, c´est une protection de grande qualité.
Etre plein de certitudes et de phobies à la fois, si c´est ça être adulte alors je ne le suis pas.
Etre un môme à défaut d´une momie, faire corps à corps avec fantaisie.
{au Refrain}
Je réclame le droit d´être un petit con.
Même les hommes qui partent à la guerre ont des visages d´enfants.
Je ne voit pas pourquoi on me ferait la leçon, les enfants qui s´ignorent sont de grands cons.
Il y a tant de gens qui se sentent mal areu, âgés d´esprit avant d´être vieux. X2
{au Refrain}