Je serais fou de l'oublier
by Herbert Léonard
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Elle était belle et lumineuse
Et elle ne savait pas mentir
Nous vivions si bien dans la Creuse
Elle aimait tout ce que j´aimais
Elle aimait rire
Elle se réveillait en chantant
Posait sa bouche contre ma peau
Plus tard elle voulait un enfant
Les projets qu´elle faisait pour nous
Etaient si beaux
Fou, je serais fou de vouloir l´oublier
Est-ce qu´on oublie jamais la femme aimée?
Je serais fou et presque criminel
D´en désirer une autre qu´elle
A tout on s´habitue, moi je ne m´habitue pas
Je continue à croire qu´elle reviendra
Alors qu´elle est partie pour un pays
D´où l´on ne revient jamais
Tout autour les gens se bousculent
Et la nuit sent encore l´été
En quelques instants tout bascule
On n´apprend pas que la vie peut nous échapper
Fou, je serais fou de vouloir l´oublier
Elle m´a donné tellement, m´a tout donné
J´ai tout rangé, j´ai fermé la maison
J´ai maudit la belle saison
Partout depuis j´ai voyagé, tué le temps
Et si je suis aujourd´hui différent
Je perçois sa présence et son amour
Toujours autour de moi, de moi
Oui fou, je serais fou de croire tout ce qu´on dit
Que je suis jeune encore, que tout s´oublie
Alors qu´elle est partie pour un pays
D´où l´on ne revient jamais, jamais, jamais.
Et elle ne savait pas mentir
Nous vivions si bien dans la Creuse
Elle aimait tout ce que j´aimais
Elle aimait rire
Elle se réveillait en chantant
Posait sa bouche contre ma peau
Plus tard elle voulait un enfant
Les projets qu´elle faisait pour nous
Etaient si beaux
Fou, je serais fou de vouloir l´oublier
Est-ce qu´on oublie jamais la femme aimée?
Je serais fou et presque criminel
D´en désirer une autre qu´elle
A tout on s´habitue, moi je ne m´habitue pas
Je continue à croire qu´elle reviendra
Alors qu´elle est partie pour un pays
D´où l´on ne revient jamais
Tout autour les gens se bousculent
Et la nuit sent encore l´été
En quelques instants tout bascule
On n´apprend pas que la vie peut nous échapper
Fou, je serais fou de vouloir l´oublier
Elle m´a donné tellement, m´a tout donné
J´ai tout rangé, j´ai fermé la maison
J´ai maudit la belle saison
Partout depuis j´ai voyagé, tué le temps
Et si je suis aujourd´hui différent
Je perçois sa présence et son amour
Toujours autour de moi, de moi
Oui fou, je serais fou de croire tout ce qu´on dit
Que je suis jeune encore, que tout s´oublie
Alors qu´elle est partie pour un pays
D´où l´on ne revient jamais, jamais, jamais.