Nique sa mère l'amour
by Insa Sané & Le Soul Slam Band
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encore hier, tu prétendais m´aimer,
je t´appelais maman, on voulait des marmots.
puis, t´as pris tes faizas; les lèvre serrées,
je t´ai dit: " tu peux pas me faire ça! ".
pourquoi se borner, l´amour est mort-né.
notre histoire c´est que des pages cornées.
j´ai pissé dans tes plantes mais elles ne crèvent pas.
j´ai envie de rien, j´ai pas faim. putain.
je crois que dans la piaule, y´a ton parfum.
j´ai déchiré tes chemises, mais tout es intacte.
je pense encore à toi et ça me debacte:
nique sa mère l´amour
vu que ça rend les gens amers.
c´est pour le meilleur, trop souvent pour le pire.
c´est beau comme ses promesses qu´on n´arrive pas à tenir.
tout seul, j´ai l´air bête.qu´est qui faut.
que je fume pour que tu quitte ma tête.
ce soir j´emprunte un terrible chemin: j´ai bousillées les meubles où y avait tes empreintes.
nos projet de lune de miel j´en ai fait
un tas de ruine que j´ai brulé, au clair de ruine.
paraît que doucement mais sûrement,
le temps sèche les larmes et les tourments.
j´aimerais que ça s´arrête:
j´aimerais ne plus penser à toi.
je t´ai flinguée à l´alcool en plein dans ma tempe.
seulement y a encore ce sentiment qui rampe.
j´ai pensé ma haine avec un tas de cachet.
parce que y a pas de toubib pour soigner ma peine.
comme j´entendais toujours ton murmure.
mon amour j´ai arraché ta photo du mur.
je m´évade de toi: fais le deuil de nous deux.
au seuil de l´aube, j´ai pas fermé l´oeil.
dans la nuit, ton ombre s´illumine
derrière les cloisons, les carresses culminent.
ils sont tous unis vers le neant.
l´amour: c´est guliver dans un univers de géants.
je t´appelais maman, on voulait des marmots.
puis, t´as pris tes faizas; les lèvre serrées,
je t´ai dit: " tu peux pas me faire ça! ".
pourquoi se borner, l´amour est mort-né.
notre histoire c´est que des pages cornées.
j´ai pissé dans tes plantes mais elles ne crèvent pas.
j´ai envie de rien, j´ai pas faim. putain.
je crois que dans la piaule, y´a ton parfum.
j´ai déchiré tes chemises, mais tout es intacte.
je pense encore à toi et ça me debacte:
nique sa mère l´amour
vu que ça rend les gens amers.
c´est pour le meilleur, trop souvent pour le pire.
c´est beau comme ses promesses qu´on n´arrive pas à tenir.
tout seul, j´ai l´air bête.qu´est qui faut.
que je fume pour que tu quitte ma tête.
ce soir j´emprunte un terrible chemin: j´ai bousillées les meubles où y avait tes empreintes.
nos projet de lune de miel j´en ai fait
un tas de ruine que j´ai brulé, au clair de ruine.
paraît que doucement mais sûrement,
le temps sèche les larmes et les tourments.
j´aimerais que ça s´arrête:
j´aimerais ne plus penser à toi.
je t´ai flinguée à l´alcool en plein dans ma tempe.
seulement y a encore ce sentiment qui rampe.
j´ai pensé ma haine avec un tas de cachet.
parce que y a pas de toubib pour soigner ma peine.
comme j´entendais toujours ton murmure.
mon amour j´ai arraché ta photo du mur.
je m´évade de toi: fais le deuil de nous deux.
au seuil de l´aube, j´ai pas fermé l´oeil.
dans la nuit, ton ombre s´illumine
derrière les cloisons, les carresses culminent.
ils sont tous unis vers le neant.
l´amour: c´est guliver dans un univers de géants.