Tiens, déjà, l'automne
by Jean Arnulf
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{Refrain:}
Tiens, déjà les arbres s´effeuillent
Et les oiseaux ne chantent plus
Mes pas chuchotent dans les feuilles
Tiens, déjà l´automne est venu
Tant de grisaille aux branches mortes
Tant est loin la belle saison
Et je n´entends plus le grillon
Qui vivait là, contre ma porte
Tant d´étés que les vents emportent
Par-delà tous les horizons
Plus de soleil dans la maison
Tant de grisaille aux branches mortes
{au Refrain}
Tant de nuages à la dérive
Tant d´épines aux bois rouillés
Et j´entends battre les souliers
De l´homme gris chassant la grive
Tant d´années déjà qui me suivent
Depuis le temps des écoliers
Le vent a pris mon tablier
Tant de nuages à la dérive
{au Refrain}
Tant d´amours dont je me souvienne
Celui qui n´est jamais venu
Peut-être bien ne viendra plus
C´est la pluie qui frappe aux persiennes
Je peux mettre un gilet de laine
J´y poserai la main dessus
Ce n´est pas moi qui l´ai voulu
Tant d´amours dont je me souvienne
Tiens, déjà j´ai fermé ma porte
Feu de bois ne me chauffe plus
Tant de solitude me porte
Tiens, déjà l´automne est venu
Tiens, déjà les arbres s´effeuillent
Et les oiseaux ne chantent plus
Mes pas chuchotent dans les feuilles
Tiens, déjà l´automne est venu
Tant de grisaille aux branches mortes
Tant est loin la belle saison
Et je n´entends plus le grillon
Qui vivait là, contre ma porte
Tant d´étés que les vents emportent
Par-delà tous les horizons
Plus de soleil dans la maison
Tant de grisaille aux branches mortes
{au Refrain}
Tant de nuages à la dérive
Tant d´épines aux bois rouillés
Et j´entends battre les souliers
De l´homme gris chassant la grive
Tant d´années déjà qui me suivent
Depuis le temps des écoliers
Le vent a pris mon tablier
Tant de nuages à la dérive
{au Refrain}
Tant d´amours dont je me souvienne
Celui qui n´est jamais venu
Peut-être bien ne viendra plus
C´est la pluie qui frappe aux persiennes
Je peux mettre un gilet de laine
J´y poserai la main dessus
Ce n´est pas moi qui l´ai voulu
Tant d´amours dont je me souvienne
Tiens, déjà j´ai fermé ma porte
Feu de bois ne me chauffe plus
Tant de solitude me porte
Tiens, déjà l´automne est venu