Maintenant je m'en vais
by Jean-François Battez
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Ce matin sonnaient à ma porte tous mes amis d´hier
Oh mais quel bon vent les apporte me dis-je en ma chaumière
Voilà t´i´ pas que l´autre après l´un embrassent ma dulcinée
En lui disant malgré le chagrin il faut bien résister
Et ils s´asseyent l´un après l´autre tout autour de mon lit
Je les entends qui chuchotent « - Il est à l´agonie
Je ne crois pas qu´il nous entende on dirait bien qu´il dort
Moi c´est que j´ai un train à prendre Quand c´est-il qu´il est mort? »
A voir cette bande de vieux vautours accrochée à ma couche
L´envie de leur jouer un mauvais tour fit chuchoter ma bouche
Oh vous mes amis mes copains tous les vieux de mon veille
Que vous soyez là c´est bien en un moment pareil
Je dois vous dire un petit secret avant de m´en aller
C´est que j´ai caché mes gros billets près de l´arbre dans le pré
Pour les retrouver n´hésitez pas mes amis à creuser
En piochant vous penserez à moi Maintenant je m´en vais
Et c´est ainsi confession faite que j´ai pris la route
A cheval sur une comète pour la céleste voûte
J´annuagis sans protocole débutant confirmé
Dans un looping, ma parole, sans oublier de crâner
Saint Pierre képi en auréole me fit gonfler le ballon
« - Allez, tu te gares, fais pas le mariole ta place est en prison »
Et c´est ainsi qu´au Paradis débuta mon enfer
Sur les brochures c´était pas dit Paradis des pépères
Hélas voyez-vous mes lascars il y a morale à l´histoire
C´est que dans les cieux au Paradis faut se tenir pénard
Les femmes à plume sont toutes des nones elles prient la sainte journée
Et le pire pour tous les bonhommes les bistrots sont fermés
Et voilà t´i´ pas que dans ma petite tête je me mis à regretter
Mes vieux copains à tête de pioche je les aurais embrassé
Alors vous tous les bien-pensants appâtés à pécher
Tant pis mordez en bon vivant vous aurez l´éternité
Pour vous reposer et... vous emmerder
Oh mais quel bon vent les apporte me dis-je en ma chaumière
Voilà t´i´ pas que l´autre après l´un embrassent ma dulcinée
En lui disant malgré le chagrin il faut bien résister
Et ils s´asseyent l´un après l´autre tout autour de mon lit
Je les entends qui chuchotent « - Il est à l´agonie
Je ne crois pas qu´il nous entende on dirait bien qu´il dort
Moi c´est que j´ai un train à prendre Quand c´est-il qu´il est mort? »
A voir cette bande de vieux vautours accrochée à ma couche
L´envie de leur jouer un mauvais tour fit chuchoter ma bouche
Oh vous mes amis mes copains tous les vieux de mon veille
Que vous soyez là c´est bien en un moment pareil
Je dois vous dire un petit secret avant de m´en aller
C´est que j´ai caché mes gros billets près de l´arbre dans le pré
Pour les retrouver n´hésitez pas mes amis à creuser
En piochant vous penserez à moi Maintenant je m´en vais
Et c´est ainsi confession faite que j´ai pris la route
A cheval sur une comète pour la céleste voûte
J´annuagis sans protocole débutant confirmé
Dans un looping, ma parole, sans oublier de crâner
Saint Pierre képi en auréole me fit gonfler le ballon
« - Allez, tu te gares, fais pas le mariole ta place est en prison »
Et c´est ainsi qu´au Paradis débuta mon enfer
Sur les brochures c´était pas dit Paradis des pépères
Hélas voyez-vous mes lascars il y a morale à l´histoire
C´est que dans les cieux au Paradis faut se tenir pénard
Les femmes à plume sont toutes des nones elles prient la sainte journée
Et le pire pour tous les bonhommes les bistrots sont fermés
Et voilà t´i´ pas que dans ma petite tête je me mis à regretter
Mes vieux copains à tête de pioche je les aurais embrassé
Alors vous tous les bien-pensants appâtés à pécher
Tant pis mordez en bon vivant vous aurez l´éternité
Pour vous reposer et... vous emmerder