4 mots sur un piano
by Jean-Jacques Goldman
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Quatre mots sur un piano, ceux qu´elle a laissés
Quatre c´est autant de trop, je sais compter
Quatre vents sur un passé, mes rêves envolés
Mais qu´aurait donc cet autre que je n´ai?
Ne le saurai-je jamais
Cas très banal, cliché, dénouement funeste
Trois moins deux qui s´en vont, ça fait moi qui reste
Caresses, égards et baisers, je n´ai pas su faire
La partager me soufflait Lucifer
Depuis je rêve d´enfer
Moi j´aurais tout fait pour elle, pour un simple mot
Que lui donne l´autre que je n´offrirais?
Elle était mon vent mes ailes, ma vie en plus beau
Etait-elle trop belle ou suis-je trop sot?
N´aime-t-on jamais assez?
Quatre années belles à pleurer, maigre résumé
Cartes jouées mais la reine s´est cachée
Quatre millions de silences, de regrets qui dansent
Les questions, les soupirs et les sentences
Je préférais ses absences
Moi j´aurais tant fait pour elle, pour boire à son eau
Que lui donne l´autre que je n´offrirais?
Elle était mon vent mes ailes, ma vie en plus beau
Mais était-elle trop belle, ou bien nous trop sots?
N´aime-t-on jamais assez
Vous étiez ma vie comme la nuit et le jour
Vous deux, nouez, filiez mon parfait amour
Un matin vous m´avez condamnée à choisir
Je ne vous aimais qu´à deux
Je vous laisse, adieu
Choisir serait nous trahir
Mais qu´aurait donc cet autre que je n´ai?
Ne le saurai-je jamais?
La partager me soufflait Lucifer
Depuis je rêve d´enfer
Quatre c´est autant de trop, je sais compter
Quatre vents sur un passé, mes rêves envolés
Mais qu´aurait donc cet autre que je n´ai?
Ne le saurai-je jamais
Cas très banal, cliché, dénouement funeste
Trois moins deux qui s´en vont, ça fait moi qui reste
Caresses, égards et baisers, je n´ai pas su faire
La partager me soufflait Lucifer
Depuis je rêve d´enfer
Moi j´aurais tout fait pour elle, pour un simple mot
Que lui donne l´autre que je n´offrirais?
Elle était mon vent mes ailes, ma vie en plus beau
Etait-elle trop belle ou suis-je trop sot?
N´aime-t-on jamais assez?
Quatre années belles à pleurer, maigre résumé
Cartes jouées mais la reine s´est cachée
Quatre millions de silences, de regrets qui dansent
Les questions, les soupirs et les sentences
Je préférais ses absences
Moi j´aurais tant fait pour elle, pour boire à son eau
Que lui donne l´autre que je n´offrirais?
Elle était mon vent mes ailes, ma vie en plus beau
Mais était-elle trop belle, ou bien nous trop sots?
N´aime-t-on jamais assez
Vous étiez ma vie comme la nuit et le jour
Vous deux, nouez, filiez mon parfait amour
Un matin vous m´avez condamnée à choisir
Je ne vous aimais qu´à deux
Je vous laisse, adieu
Choisir serait nous trahir
Mais qu´aurait donc cet autre que je n´ai?
Ne le saurai-je jamais?
La partager me soufflait Lucifer
Depuis je rêve d´enfer