Tien an men
by Johnny Hallyday
lyricscopy.com
Au grand cirque de pierres, sous le soleil de juin
Des hommes, assis par terre, ont bravé le destin
C´était pourtant hier et c´est déjà si loin
Je m´en souviens
Un printemps comme les autres que celui de Pékin
A qui est-ce la faute si on n´en dit plus rien?
C´était pourtant hier, qu´en ferons-nous demain?
Qu´en ferons-nous demain?
A force de subir les coups
Y a des cris que l´on n´entend plus
Des voix qui n´ont plus d´autres issues
Que de maudire sans mot dire
A force de haïr les fous
Y a des hommes qui lèvent leurs chaînes
Mourir peut-être, mais debout
A Tien An Men
Une génération muselée, mutilée
De sa révolution qu´on n´a pas écoutée
C´était pourtant hier, c´est déjà oublié
Mais ce n´est rien
Si le corps est vaincu, brûle toujours la flamme
Que rien n´éteindra plus à l´écueil de son âme
C´est encore aujourd´hui et ce sera demain
Et ce sera demain
A force de subir les coups
Y a des hommes qui brisent leurs chaînes
Mourir peut-être, mais debout
A Tien An Men
Des hommes, assis par terre, ont bravé le destin
C´était pourtant hier et c´est déjà si loin
Je m´en souviens
Un printemps comme les autres que celui de Pékin
A qui est-ce la faute si on n´en dit plus rien?
C´était pourtant hier, qu´en ferons-nous demain?
Qu´en ferons-nous demain?
A force de subir les coups
Y a des cris que l´on n´entend plus
Des voix qui n´ont plus d´autres issues
Que de maudire sans mot dire
A force de haïr les fous
Y a des hommes qui lèvent leurs chaînes
Mourir peut-être, mais debout
A Tien An Men
Une génération muselée, mutilée
De sa révolution qu´on n´a pas écoutée
C´était pourtant hier, c´est déjà oublié
Mais ce n´est rien
Si le corps est vaincu, brûle toujours la flamme
Que rien n´éteindra plus à l´écueil de son âme
C´est encore aujourd´hui et ce sera demain
Et ce sera demain
A force de subir les coups
Y a des hommes qui brisent leurs chaînes
Mourir peut-être, mais debout
A Tien An Men