L'œil magique
by Lynda Lemay
lyricscopy.com
Y en a qui s´ouvrent et qui s´balancent
Y en a qui grincent, y en a qui dansent
Y en a qui claquent d´un seul coup d´pied là où je pense
Lorsque tu sonnes et qu´tu t´annonces
Y en a qui donnent jamais d´réponse
Y en a des fragiles qui décrochent et qui s´défoncent
Et puis y en a des dures de dures
Tu cognes dedans comme dans un mur
Elles sont belles et grandes et métalliques
Elles te regardent attendre d´un œil magique
Y en a des vieilles et des coincées
Y en a des petites toutes bien huilées
Y en a sur lesquelles t´as toujours l´oreille collée
Y en a qui s´verrouillent pour toujours
Y en a qu´on force quand on a l´tour
Y en a qu´on prend seulement comme sortie de secours
Et puis y en a des dures de dures
Tu cognes dedans comme dans un mur
Elles sont belles et grandes et métalliques
Elles te regardent attendre d´un œil magique
Y en a qu´on touche et puis qui craquent
Y en a qu´on lâche, y en a qu´on plaque
Y en a des transparentes qui donnent de bons spectacles
Y en a qui t´prennent pour un voleur
Un Jéhovah, un colporteur
Y en a qui s´laissent toujours avoir par la douceur
Et puis y en a des dures de dures
Tu cognes dedans comme dans un mur
Elles sont belles et grandes et métalliques
Elles te regardent attendre d´un œil magique
Y en a souvent qui t´rendent jaloux
Dans les petits hôtels à 30 sous
Y en a qui marchent avec n´importe quel passe-partout
Des pas barrées, des coulissantes
Des réservées aux employés
Des complètement absentes et...
... Et des barricadées!
Et puis y en a des dures de dures
Tu cognes dedans comme dans un mur
Elles sont belles et grandes et métalliques
Elles te regardent attendre d´un œil magique
Et puis y en a une toute modeste
Que t´as pas l´air de remarquer
Au 41, 1ère Avenue Ouest
Il suffirait qu´tu tournes... sa jolie poignée
Y en a qui grincent, y en a qui dansent
Y en a qui claquent d´un seul coup d´pied là où je pense
Lorsque tu sonnes et qu´tu t´annonces
Y en a qui donnent jamais d´réponse
Y en a des fragiles qui décrochent et qui s´défoncent
Et puis y en a des dures de dures
Tu cognes dedans comme dans un mur
Elles sont belles et grandes et métalliques
Elles te regardent attendre d´un œil magique
Y en a des vieilles et des coincées
Y en a des petites toutes bien huilées
Y en a sur lesquelles t´as toujours l´oreille collée
Y en a qui s´verrouillent pour toujours
Y en a qu´on force quand on a l´tour
Y en a qu´on prend seulement comme sortie de secours
Et puis y en a des dures de dures
Tu cognes dedans comme dans un mur
Elles sont belles et grandes et métalliques
Elles te regardent attendre d´un œil magique
Y en a qu´on touche et puis qui craquent
Y en a qu´on lâche, y en a qu´on plaque
Y en a des transparentes qui donnent de bons spectacles
Y en a qui t´prennent pour un voleur
Un Jéhovah, un colporteur
Y en a qui s´laissent toujours avoir par la douceur
Et puis y en a des dures de dures
Tu cognes dedans comme dans un mur
Elles sont belles et grandes et métalliques
Elles te regardent attendre d´un œil magique
Y en a souvent qui t´rendent jaloux
Dans les petits hôtels à 30 sous
Y en a qui marchent avec n´importe quel passe-partout
Des pas barrées, des coulissantes
Des réservées aux employés
Des complètement absentes et...
... Et des barricadées!
Et puis y en a des dures de dures
Tu cognes dedans comme dans un mur
Elles sont belles et grandes et métalliques
Elles te regardent attendre d´un œil magique
Et puis y en a une toute modeste
Que t´as pas l´air de remarquer
Au 41, 1ère Avenue Ouest
Il suffirait qu´tu tournes... sa jolie poignée