Rentrer au port
by Mano Solo
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Les rues ne sont que des fleuves de feu
Ou se consument les amoureux.
L´amour c´est pas pour moi
C´est un truc pour les gens qui pleurent
De plaisir ou de bonheur.
Mais mon corps est à sec
Plus une larme ou même un cri sortant du bec.
Rien à dire et rien à vivre
Je ne fais que passer.
Les rues ne sont que des fleuves de feu
Ou se consument les amoureux (bis)
Il y a bien longtemps déjà Madame
Que j´ai abandonné les rames
Et que le fleuve me trimballe sans idéal
A mijoter dans ma timbale.
Le ciel est tellement grand
Qu´il peut parfois faire froid.
Je me laisse porter par le courant
Et j´essaye de ne plus penser à toi.
Les rues ne sont que des fleuves de feu
Ou se consument les amoureux.
Lalala lalala
Et j´avance marinier du bûcher
Sans regarder sans même y penser.
Je navigue sur les braises au fond des gorges et des falaises.
Mon gouvernail est parti dans les flammes
Et depuis j´ai cessé d´espérer
Rentrer au port sans tout qui crame
Et que lui même n´est pas cessé d´exister.
Les rues ne sont que des fleuves de feu
Ou se consument les amoureux. (bis)
Lalala lalala
Ou se consument les amoureux.
L´amour c´est pas pour moi
C´est un truc pour les gens qui pleurent
De plaisir ou de bonheur.
Mais mon corps est à sec
Plus une larme ou même un cri sortant du bec.
Rien à dire et rien à vivre
Je ne fais que passer.
Les rues ne sont que des fleuves de feu
Ou se consument les amoureux (bis)
Il y a bien longtemps déjà Madame
Que j´ai abandonné les rames
Et que le fleuve me trimballe sans idéal
A mijoter dans ma timbale.
Le ciel est tellement grand
Qu´il peut parfois faire froid.
Je me laisse porter par le courant
Et j´essaye de ne plus penser à toi.
Les rues ne sont que des fleuves de feu
Ou se consument les amoureux.
Lalala lalala
Et j´avance marinier du bûcher
Sans regarder sans même y penser.
Je navigue sur les braises au fond des gorges et des falaises.
Mon gouvernail est parti dans les flammes
Et depuis j´ai cessé d´espérer
Rentrer au port sans tout qui crame
Et que lui même n´est pas cessé d´exister.
Les rues ne sont que des fleuves de feu
Ou se consument les amoureux. (bis)
Lalala lalala