D'être à vous
by Marie Laforêt
lyricscopy.com
Je sais juste qui vous êtes
Les feux tournent dans ma tête
Et les portes s´ouvrent à deux battants
Je vous attends,
Des cloches fêlées disent non
Mais que m´importe votre nom
Dans la cheminée les flammes ont raison
{Refrain:}
J´ai envie d´être à vous
D´être à vous, d´être à vous
Tellement
D´être à vous
Le sommeil s´enfuit de mon lit
Dans les chemins creux je le suis
J´attends d´avoir presque peur
D´un loup qui serait vous,
La nuit m´écoute et je parle
De moi et des cathédrales,
De n´importe quoi et quand j´ai fini
{au Refrain}
Pour nous retrouver face à face
Je reviendrais sur mes pas
Quel qu´il soit, le temps qui passe
Ne vous effacera pas,
Des diamants craquent sous mes pas
Mais le froid ne mord que mes doigts
Le vent d´hiver n´éteint pas mes joues
Je pense à vous,
Aux pagodes aux toits de vermeil
Aux fleuves blancs sous le soleil
Je serre ma fourrure
Et j´avoue que
{au Refrain}
Le cheval noir qui se dérobe
Très loin je vois déjà l´aube,
Le pont doit s´ouvrir,
Le jour est là
Je pense à vous,
Vitrines et voitures dansent
Tout ça dans un grand silence
Car cent guitares me parlent de vous
Et
{au Refrain}
Les feux tournent dans ma tête
Et les portes s´ouvrent à deux battants
Je vous attends,
Des cloches fêlées disent non
Mais que m´importe votre nom
Dans la cheminée les flammes ont raison
{Refrain:}
J´ai envie d´être à vous
D´être à vous, d´être à vous
Tellement
D´être à vous
Le sommeil s´enfuit de mon lit
Dans les chemins creux je le suis
J´attends d´avoir presque peur
D´un loup qui serait vous,
La nuit m´écoute et je parle
De moi et des cathédrales,
De n´importe quoi et quand j´ai fini
{au Refrain}
Pour nous retrouver face à face
Je reviendrais sur mes pas
Quel qu´il soit, le temps qui passe
Ne vous effacera pas,
Des diamants craquent sous mes pas
Mais le froid ne mord que mes doigts
Le vent d´hiver n´éteint pas mes joues
Je pense à vous,
Aux pagodes aux toits de vermeil
Aux fleuves blancs sous le soleil
Je serre ma fourrure
Et j´avoue que
{au Refrain}
Le cheval noir qui se dérobe
Très loin je vois déjà l´aube,
Le pont doit s´ouvrir,
Le jour est là
Je pense à vous,
Vitrines et voitures dansent
Tout ça dans un grand silence
Car cent guitares me parlent de vous
Et
{au Refrain}