A la faveur de l'automne
by Matthew Raymond Parker
lyricscopy.com
Posté devant la fenêtre
Je guette
Les âmes esseulées
A la faveur de l´automne,
Posté devant la fenêtre
Je regrette
De n´y avoir songé
Maintenant que tu abandonnes,
A la faveur de l´automne
Revient cette douce mélancolie,
Un, deux, trois, quatre
Un peu comme on fredonne
De vieilles mélodies,
Rivé devant le téléphone
J´attends
Que tu daignes m´appeler
Que tu te décides enfin.
Toi, tes allures de garçonne
Rompiez un peu la monotonie
De mes journées de mes nuits.
{Refrain :}
A la faveur de l´automne
Revient cette douce mélancolie,
Un, deux, trois, quatre
Un peu comme on fredonne
De vieilles mélodies,
A la faveur de l´automne
Tu redonnes
A ma mélancolie
Ses couleurs de super scopitone
A la faveur de l´automne,
Comment ai-je pu seulement
Être aussi bête?
On m´avait prévenu
Voici la vérité nue.
Manquerait
Plus que le mauvais temps
S´y mette,
Une goutte de pluie et
J´aurais vraiment tout perdu,
{Refrain}
Je guette
Les âmes esseulées
A la faveur de l´automne,
Posté devant la fenêtre
Je regrette
De n´y avoir songé
Maintenant que tu abandonnes,
A la faveur de l´automne
Revient cette douce mélancolie,
Un, deux, trois, quatre
Un peu comme on fredonne
De vieilles mélodies,
Rivé devant le téléphone
J´attends
Que tu daignes m´appeler
Que tu te décides enfin.
Toi, tes allures de garçonne
Rompiez un peu la monotonie
De mes journées de mes nuits.
{Refrain :}
A la faveur de l´automne
Revient cette douce mélancolie,
Un, deux, trois, quatre
Un peu comme on fredonne
De vieilles mélodies,
A la faveur de l´automne
Tu redonnes
A ma mélancolie
Ses couleurs de super scopitone
A la faveur de l´automne,
Comment ai-je pu seulement
Être aussi bête?
On m´avait prévenu
Voici la vérité nue.
Manquerait
Plus que le mauvais temps
S´y mette,
Une goutte de pluie et
J´aurais vraiment tout perdu,
{Refrain}