La sud-américaine
by Michel Noirret
lyricscopy.com
Il y avait dans son corsage
Un joli jeu pour mon âge
C´eût été lui faire outrage
De ne point en faire usage
Dans ma hâte, dans ma rage
J´y fis bien quelques dommages
Elle n´en prit pas ombrage {x2}
Il y avait dans son corsage
Un joli jeu pour mon âge
Il y avait sur son visage
Deux lèvres au goût sauvage
J´y mordis, anthropophage
Pour les goûter davantage
Le sang laissa un sillage
Et je bus ce témoignage
Ce fut un très doux carnage {x2}
Il y avait sur son visage
Deux lèvres au goût sauvage
J´habitais dans les parages
Un gentil deuxième étage
La chance étant de passage
Y avait même le chauffage!
Paré pour l´appareillage
Nous attendait mon lit-cage
Nous le prîmes à l´abordage {x2}
J´habitais dans les parages
Un gentil deuxième étage
Et de roulis en tangages
Nous fîmes de beaux voyages
Sous des cieux où les orages
Font la joie des équipages
Du fin fond des marécages
Jusqu´au sommet des alpages
Nous menâmes grand tapage {x2}
Et de roulis en tangages
Nous fîmes de beaux voyages
L´amour, quand il se propage
Peut rendre fou le plus sage
Et la raison déjà, ça je
N´en eus guère en héritage
J´en fis ma plus belle image
La reine de mes mirages
Je la gardais en otage {x2}
L´amour, quand il se propage,
Peut rendre fou le plus sage
Quels qu´en soient les avantages
Une cage est une cage
Et, même en or, le grillage
Ça restreint le paysage
Sans cri, sans remue-ménage
Sans laisser même un message
Elle partit sans bagages {x2}
Quels qu´en soient les avantages
Une cage est une cage
Le chagrin est un breuvage
Qu´on boit seul et sans partage
Faut en faire l´apprentissage
Pour connaître les usages
Ayant payé le péage
Le cœur se met à la page
Pour subir d´autres saccages {x2}
Le chagrin est un breuvage
Qu´on boit seul et sans partage
Un joli jeu pour mon âge
C´eût été lui faire outrage
De ne point en faire usage
Dans ma hâte, dans ma rage
J´y fis bien quelques dommages
Elle n´en prit pas ombrage {x2}
Il y avait dans son corsage
Un joli jeu pour mon âge
Il y avait sur son visage
Deux lèvres au goût sauvage
J´y mordis, anthropophage
Pour les goûter davantage
Le sang laissa un sillage
Et je bus ce témoignage
Ce fut un très doux carnage {x2}
Il y avait sur son visage
Deux lèvres au goût sauvage
J´habitais dans les parages
Un gentil deuxième étage
La chance étant de passage
Y avait même le chauffage!
Paré pour l´appareillage
Nous attendait mon lit-cage
Nous le prîmes à l´abordage {x2}
J´habitais dans les parages
Un gentil deuxième étage
Et de roulis en tangages
Nous fîmes de beaux voyages
Sous des cieux où les orages
Font la joie des équipages
Du fin fond des marécages
Jusqu´au sommet des alpages
Nous menâmes grand tapage {x2}
Et de roulis en tangages
Nous fîmes de beaux voyages
L´amour, quand il se propage
Peut rendre fou le plus sage
Et la raison déjà, ça je
N´en eus guère en héritage
J´en fis ma plus belle image
La reine de mes mirages
Je la gardais en otage {x2}
L´amour, quand il se propage,
Peut rendre fou le plus sage
Quels qu´en soient les avantages
Une cage est une cage
Et, même en or, le grillage
Ça restreint le paysage
Sans cri, sans remue-ménage
Sans laisser même un message
Elle partit sans bagages {x2}
Quels qu´en soient les avantages
Une cage est une cage
Le chagrin est un breuvage
Qu´on boit seul et sans partage
Faut en faire l´apprentissage
Pour connaître les usages
Ayant payé le péage
Le cœur se met à la page
Pour subir d´autres saccages {x2}
Le chagrin est un breuvage
Qu´on boit seul et sans partage