Chanson du cidre
by Nicole Broissin
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La pomme est un fruit plein de sève
Et qui toujours doit nous tenter,
Car on nous dit qu´notre mère Eve
Fut la première à le goûter,
Que pour mordre au fruit défendu,
C´est dans une pomme qu´elle a mordu
C´est dans une pomme qu´elle a mordu
Est-ce dans une pomme, dans une pomme?
Depuis le premier homme,
Tout le monde en convient,
Et c´est d´là que l´cidre nous vient
Vive le cidre de Normandie,
Rien ne fait sauter comme ça
Et cette tisane-là
Guérit toute maladie
Des pommes j´connais les prouesses,
On dit dans je n´sais quel pays
Que, de leurs charmes, trois déesses
Ont fait juge le berger Pâris.
On ne dit pas certainement
Que Pâris était un Normand
Que Pâris était un Normand.
Mais sans une pomme, sans une pomme,
Jamais c´pauvre jeune homme,
Tout à fait inconnu
N´aurait vu rien de c´qu´il a vu.
C´est dans l´pays d´oùsse que nous sommes,
Que, monté sur un tabouret,
Le beau Nicolas j´tait des pommes
Dans le tablier de Babet
A chaque pomme, Babet se haussait,
Ça faisait craquer son corset.
Ça faisait craquer son corset.
Et l´beau jeune homme, l´beau jeune homme,
En lançant chaque pomme,
Disait : C´est merveilleux,
Je n´en jette qu´une et j´en vois deux.
Et qui toujours doit nous tenter,
Car on nous dit qu´notre mère Eve
Fut la première à le goûter,
Que pour mordre au fruit défendu,
C´est dans une pomme qu´elle a mordu
C´est dans une pomme qu´elle a mordu
Est-ce dans une pomme, dans une pomme?
Depuis le premier homme,
Tout le monde en convient,
Et c´est d´là que l´cidre nous vient
Vive le cidre de Normandie,
Rien ne fait sauter comme ça
Et cette tisane-là
Guérit toute maladie
Des pommes j´connais les prouesses,
On dit dans je n´sais quel pays
Que, de leurs charmes, trois déesses
Ont fait juge le berger Pâris.
On ne dit pas certainement
Que Pâris était un Normand
Que Pâris était un Normand.
Mais sans une pomme, sans une pomme,
Jamais c´pauvre jeune homme,
Tout à fait inconnu
N´aurait vu rien de c´qu´il a vu.
C´est dans l´pays d´oùsse que nous sommes,
Que, monté sur un tabouret,
Le beau Nicolas j´tait des pommes
Dans le tablier de Babet
A chaque pomme, Babet se haussait,
Ça faisait craquer son corset.
Ça faisait craquer son corset.
Et l´beau jeune homme, l´beau jeune homme,
En lançant chaque pomme,
Disait : C´est merveilleux,
Je n´en jette qu´une et j´en vois deux.