Je ne serais jamais ta parisienne
by Nolwenn Leroy
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Là ou les eaux se mêlent,
Là ou se finit la Terre,
Là ou est si grand le ciel,
Là ou se bat la mer
La ou je devient celle, qui pour toi, reste un mystere,
Même si, tu me trouve si belle,
Sous les feux de ta ville lumière,
Qui voit Ouessant, Voit son sang,
Qui voit Molène, oublie sa peine,
Qui voit Sein, n´a plus peur, du lendemain,
Qui voit le Fromveur, entrevoit le bonheur,
J´aimerais tant, que tu me comprenne,
Je ne serais jamais ta parisienne
J´aimerais tant que tu comprenne,
Qu´ici, ma place, n´est pas la mienne,
Mais sur les rives de la Seine
Je rêve toujours de pleine mer,
Ce n´est pas pour te faire de la peine,
Ce n´est pas, pour jeter la pierre
Ce n´est pas pour faire de scène,
Ce n´est pas, pour croiser le fer
Mais sur les rives de la Seine, je suis au bout de la Terre
Qui voit Ouessant, voit son sang,
Qui voit Molène, oublie sa peine,
Qui voit Sein, n´a plus peur, du lendemain
Qui voit le Fromveur, entrevoit le bonheur,
J´aimerais tant, que tu me comprenne,
Je ne serais jamais ta parisienne,
J´aimerais tant que tu comprenne,
Qu´ici, ma place, n´est pas la mienne
J´aimerais tant, que tu me comprenne,
Je ne serais jamais ta parisienne
J´aimerais tant que tu comprenne,
Qu´ici, ma place, n´est pas la mienne...
Là ou se finit la Terre,
Là ou est si grand le ciel,
Là ou se bat la mer
La ou je devient celle, qui pour toi, reste un mystere,
Même si, tu me trouve si belle,
Sous les feux de ta ville lumière,
Qui voit Ouessant, Voit son sang,
Qui voit Molène, oublie sa peine,
Qui voit Sein, n´a plus peur, du lendemain,
Qui voit le Fromveur, entrevoit le bonheur,
J´aimerais tant, que tu me comprenne,
Je ne serais jamais ta parisienne
J´aimerais tant que tu comprenne,
Qu´ici, ma place, n´est pas la mienne,
Mais sur les rives de la Seine
Je rêve toujours de pleine mer,
Ce n´est pas pour te faire de la peine,
Ce n´est pas, pour jeter la pierre
Ce n´est pas pour faire de scène,
Ce n´est pas, pour croiser le fer
Mais sur les rives de la Seine, je suis au bout de la Terre
Qui voit Ouessant, voit son sang,
Qui voit Molène, oublie sa peine,
Qui voit Sein, n´a plus peur, du lendemain
Qui voit le Fromveur, entrevoit le bonheur,
J´aimerais tant, que tu me comprenne,
Je ne serais jamais ta parisienne,
J´aimerais tant que tu comprenne,
Qu´ici, ma place, n´est pas la mienne
J´aimerais tant, que tu me comprenne,
Je ne serais jamais ta parisienne
J´aimerais tant que tu comprenne,
Qu´ici, ma place, n´est pas la mienne...