Irma la douce
by Opérettes
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Mon rêve chaque soir enjambe les horizons
Tout là-bas, y a la Butte, la Butte et ses maisons
Le Rochechouart, Pigalle, les bars et les tabacs
Y a l´ciné, y a la vie et la nuit sur tout ça...
Et puis il y a l´Caulaincourt
Où rodent les filles d´amour
Et parmi ces filles là
Y a mon Irma, Ma môme...
Elle est loin mais je crois
Qu´elle pense toujours à moi
Et qu´elle trouve le temps long
Au bout du Pont, Ma môme.
J´ai beau m´la raconter, j´y crois pas j´y crois plus
J´ai l´cafard et c´est tout et y a pas d´lan tur lu
Y a pas d´chansons qui tiennent, j´ai beau m´la raconter
L´espoir moins qu´y en a, plus qu´c´est lourd à porter,
Je revois l´Caulaincourt
Où rodent les filles d´amour
Et parmi ces filles là
Y a mon Irma, Ma môme...
On dirait qu´elle m´entend
Mon Irma qui m´attend
Et qu´son cœur me répond
Du bout du Pont, Ma môme.
Tout d´même à supposer, tout d´un coup si j´revenais
Ce serait comme qui dirait, ce serait quatorze juillet
Quelle fête, quelle nuit, quel boum, quel ciel et quelle java
J´en ai les g´noux qui tremblent comme si qu´il était là
Tout Montmartre avec moi
Ferait flamber sa joie
En vert en rouge en bleu
Comme un grand feu
D´Bengale
On danserait dans les rues
Et j´croirai c´que j´crois plus
Que le Bon Dieu pour sûr
Règne enfin sur Pigalle.
Tout là-bas, y a la Butte, la Butte et ses maisons
Le Rochechouart, Pigalle, les bars et les tabacs
Y a l´ciné, y a la vie et la nuit sur tout ça...
Et puis il y a l´Caulaincourt
Où rodent les filles d´amour
Et parmi ces filles là
Y a mon Irma, Ma môme...
Elle est loin mais je crois
Qu´elle pense toujours à moi
Et qu´elle trouve le temps long
Au bout du Pont, Ma môme.
J´ai beau m´la raconter, j´y crois pas j´y crois plus
J´ai l´cafard et c´est tout et y a pas d´lan tur lu
Y a pas d´chansons qui tiennent, j´ai beau m´la raconter
L´espoir moins qu´y en a, plus qu´c´est lourd à porter,
Je revois l´Caulaincourt
Où rodent les filles d´amour
Et parmi ces filles là
Y a mon Irma, Ma môme...
On dirait qu´elle m´entend
Mon Irma qui m´attend
Et qu´son cœur me répond
Du bout du Pont, Ma môme.
Tout d´même à supposer, tout d´un coup si j´revenais
Ce serait comme qui dirait, ce serait quatorze juillet
Quelle fête, quelle nuit, quel boum, quel ciel et quelle java
J´en ai les g´noux qui tremblent comme si qu´il était là
Tout Montmartre avec moi
Ferait flamber sa joie
En vert en rouge en bleu
Comme un grand feu
D´Bengale
On danserait dans les rues
Et j´croirai c´que j´crois plus
Que le Bon Dieu pour sûr
Règne enfin sur Pigalle.