Le jour où tu partiras
by Oxmo Puccino
lyricscopy.com
{Oxmo}
Trop d´femmes et d´hommes, s´imaginaient love à la vie
Pauvre l´avis que je donne? Prouve-le sans le "mais"
Tous mes espoirs rêvent que c´soit faux
Surtout quand tu chuchotes : "T´inquiète, moi j´t´aime", y a faux
Et quand j´t´interroge : "Qui est-ce au phone?"
T´hésites à m´répondre pour me pondre un truc léger style
«Quelle pile t´anime? C´est qu´un ami, j´t´ai dit qu´c´est toi qu´j´aime
Les autres? Pfff! C´est toi qu´j´aime
C´est que le ciné et le resto pourquoi ça te gêne?
Ce gars se jette autour de mon cou, m´en fous
C´est toi qu´j´aime »
Mais c´est la même promesse de chaque fille à chaque mec.
Le même speech pour s´mettre ensemble, le même pour ne plus l´être.
Tu vois (t´as vu) à chaque fois que tu mens et qu´on s´embrouille
À ces moments tu m´rappelles ce jour où tu partiras
{Refrain}
Dans la magie des premiers jours
On s´était dit des mots d´amour
Qu´en est-il? Les yeux nous pleurent
Tu n´es qu´à une larme de la haine
Dans la magie des premiers jours
On s´était dit des mots d´amour
Qu´en est-il? Les yeux nous pleurent
Rien ne dure toujours
M´aimes-tu toujours?
{Oxmo}
Franchement quand j´pense à mes ex-liens d´affection
Hormis le sexuel ce fut formidable au début
Au début c´est souvent formidable puis ça vire à l´ordinaire
L´amour meurt, on s´écarte, on s´dit merde et les larmes partent,
Et on s´tape comme des chiffons d´vant les gosses,
L´amour c´est faussement beau et même moche
{K-Reen}
À nos amours blessés, qui pleurent au point d´user,
Comme une rage cachée qui s´enflamme pour tout brûler.
Quand tu partiras, j´irai trouver plus loin l´amour en sursis
Sans folie voir, l´amour nous tue à coups de haine
À coups de "je t´aime"
{Au refrain}
{Oxmo}
Beaucoup trop laissent la mauvaise personne et regrettent
Jurent sur la vie de leur mère de changer
Esseulés, les jours risquent de s´allonger,
Les yeux se laissent aller comme une éponge gorgée d´eau
Assis le coude sur la cuisse, la joue sur la paume
Une goutte glisse de la joue et tombe sur le sol.
Elle subit comme celle qui aime quelqu´un qui ne l´aime plus
Son prochain ex-mec vient et lui dit : "Ne pleure plus"
Arbre de vie, mes lignes profondes dans la tristesse
Sont mes racines, stoppe tout de suite tous ces chichis
Ton doute sur nous deux, poupée, nous assassine
Comme ce jour tu partiras.
{Au refrain}
Trop d´femmes et d´hommes, s´imaginaient love à la vie
Pauvre l´avis que je donne? Prouve-le sans le "mais"
Tous mes espoirs rêvent que c´soit faux
Surtout quand tu chuchotes : "T´inquiète, moi j´t´aime", y a faux
Et quand j´t´interroge : "Qui est-ce au phone?"
T´hésites à m´répondre pour me pondre un truc léger style
«Quelle pile t´anime? C´est qu´un ami, j´t´ai dit qu´c´est toi qu´j´aime
Les autres? Pfff! C´est toi qu´j´aime
C´est que le ciné et le resto pourquoi ça te gêne?
Ce gars se jette autour de mon cou, m´en fous
C´est toi qu´j´aime »
Mais c´est la même promesse de chaque fille à chaque mec.
Le même speech pour s´mettre ensemble, le même pour ne plus l´être.
Tu vois (t´as vu) à chaque fois que tu mens et qu´on s´embrouille
À ces moments tu m´rappelles ce jour où tu partiras
{Refrain}
Dans la magie des premiers jours
On s´était dit des mots d´amour
Qu´en est-il? Les yeux nous pleurent
Tu n´es qu´à une larme de la haine
Dans la magie des premiers jours
On s´était dit des mots d´amour
Qu´en est-il? Les yeux nous pleurent
Rien ne dure toujours
M´aimes-tu toujours?
{Oxmo}
Franchement quand j´pense à mes ex-liens d´affection
Hormis le sexuel ce fut formidable au début
Au début c´est souvent formidable puis ça vire à l´ordinaire
L´amour meurt, on s´écarte, on s´dit merde et les larmes partent,
Et on s´tape comme des chiffons d´vant les gosses,
L´amour c´est faussement beau et même moche
{K-Reen}
À nos amours blessés, qui pleurent au point d´user,
Comme une rage cachée qui s´enflamme pour tout brûler.
Quand tu partiras, j´irai trouver plus loin l´amour en sursis
Sans folie voir, l´amour nous tue à coups de haine
À coups de "je t´aime"
{Au refrain}
{Oxmo}
Beaucoup trop laissent la mauvaise personne et regrettent
Jurent sur la vie de leur mère de changer
Esseulés, les jours risquent de s´allonger,
Les yeux se laissent aller comme une éponge gorgée d´eau
Assis le coude sur la cuisse, la joue sur la paume
Une goutte glisse de la joue et tombe sur le sol.
Elle subit comme celle qui aime quelqu´un qui ne l´aime plus
Son prochain ex-mec vient et lui dit : "Ne pleure plus"
Arbre de vie, mes lignes profondes dans la tristesse
Sont mes racines, stoppe tout de suite tous ces chichis
Ton doute sur nous deux, poupée, nous assassine
Comme ce jour tu partiras.
{Au refrain}