Nocturne urbain
by Pascal Garry
lyricscopy.com
Des voix s´élèvent de la ruelle
Dans la mélancolie du soir
Sortie de bar ou de chapelle
Chacun son petit exutoire
La ville resserre son étreinte
Et de pénombre, et de lumière
Entretenant doucement la crainte
Des braves gens retardataires
Un passant court à perdre haleine
Au bouche à bouche du métro
Moi, je descends à la prochaine,
Prévient son cœur au grand galop
Même à courir à contrecœur
Dans la cohue des temps modernes
T´avances toujours, y a pas d´erreur
Et l´Homme s´éloigne de sa caverne
{Refrain:}
Le nez planté sous les étoiles
J´ regarde un peu tourner la Terre
Tout en rêvant mettre les voiles
Chaque fois qu´ je croise un courant d´air
Un autobus sur le boulevard
En bringuebalant rentre au dépôt
Tous ces pavés, pourrait-on croire,
Se sont jurés d´avoir sa peau
Les rideaux de fer sont tombés
Sur le spectacle des vitrines
Quelques tagueurs les ont bombés
D´éclats de couleurs clandestines
Mais la nuit, tous les chats sont bleus
A la lueur des ambulances
Même si chacun fait ce qu´il peut
C´ pas tous les jours qu´ les souris dansent
Parfois, la Lune ça suffit bien
Pour éclairer nos solitudes
Si le Soleil revient demain
Ce s´ra sans doute par habitude
{au Refrain}
Les caniveaux pleurent comme des veaux
Dans le ronron des balayeuses
C´est pareil à tous les niveaux
Les fins de fêtes sont douloureuses
Mais tout est bien qui finit pas
Puisque déjà revient l´aurore
Et, que nos nuits soient blanches ou pas,
Nos rêves y sont multicolores
{au Refrain, x2}
Dans la mélancolie du soir
Sortie de bar ou de chapelle
Chacun son petit exutoire
La ville resserre son étreinte
Et de pénombre, et de lumière
Entretenant doucement la crainte
Des braves gens retardataires
Un passant court à perdre haleine
Au bouche à bouche du métro
Moi, je descends à la prochaine,
Prévient son cœur au grand galop
Même à courir à contrecœur
Dans la cohue des temps modernes
T´avances toujours, y a pas d´erreur
Et l´Homme s´éloigne de sa caverne
{Refrain:}
Le nez planté sous les étoiles
J´ regarde un peu tourner la Terre
Tout en rêvant mettre les voiles
Chaque fois qu´ je croise un courant d´air
Un autobus sur le boulevard
En bringuebalant rentre au dépôt
Tous ces pavés, pourrait-on croire,
Se sont jurés d´avoir sa peau
Les rideaux de fer sont tombés
Sur le spectacle des vitrines
Quelques tagueurs les ont bombés
D´éclats de couleurs clandestines
Mais la nuit, tous les chats sont bleus
A la lueur des ambulances
Même si chacun fait ce qu´il peut
C´ pas tous les jours qu´ les souris dansent
Parfois, la Lune ça suffit bien
Pour éclairer nos solitudes
Si le Soleil revient demain
Ce s´ra sans doute par habitude
{au Refrain}
Les caniveaux pleurent comme des veaux
Dans le ronron des balayeuses
C´est pareil à tous les niveaux
Les fins de fêtes sont douloureuses
Mais tout est bien qui finit pas
Puisque déjà revient l´aurore
Et, que nos nuits soient blanches ou pas,
Nos rêves y sont multicolores
{au Refrain, x2}