Je te préviens
by Patricia Carli
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Je te préviens, je te le dis,
Si tu me trompes un jour, ce sera fini!
Entre nous deux, rien ne pourra plus rester
Même si tu viens, même si tu viens
Pour te faire pardonner
Je te préviens, je te le dis,
Si tu me trompes, ce ne sera pas gentil
Moi qui te fais tous tes menus préférés
Que tu dévores, que tu dévores
Jusqu´à te rassasier
Tes chemises bleues, tes costumes blancs
C´est moi qui lave et qui repasse tout ça
Quant à l´entretien de la maison
Chéri, n´en parlons pas, n´en parlons pas
J´y laisserai ma vie
Notre budget n´est pas trop grand
Il finit toujours avant la fin du mois
Et moi, pour joindre les deux bouts chaque fois,
Je fais de la, je fais de la
Couture et puis voilà!
Si, par malheur, t´es enrhumé
Je te soigne et te gâte comme un bébé
Trente-huit de fièvre, pour toi, c´est l´agonie
Tu crois alors, tu crois alors
Que tu vas en mourir
Tu fumes trop, t´as pas d´ pitié
Les cendres, les mégots, j´en suis obsédée
Les cendriers, pour toi, ça n´existe pas
C´est les tapis, c´est les tapis
Qui sont toujours ta proie
Quand tu invites les p´tits copains
Tu bois sans cesse jusqu´au petit matin
Le jour après tu n´ vas pas travailler
Car c´est ton foie, oui, c´est ton foie
Qu´il faut alors soigner!
Tu me donnes bien beaucoup d´ soucis
Mais sans toi, que serait p´t-être pour moi la vie?
Car malgré tes manies et ton caractère
Ça c´est petit, ça c´est petit
A côté du tonnerre!
Quand tu me dis avec ferveur
"Tu es ma femme et mon petit bouquet d´ fleurs"
Tu es pour moi, le mari dont j´ai rêvé
Avec tous tes défauts, chéri,
Avec toutes tes qualités
Moi, je te garderai ainsi
Comme tu es!
Si tu me trompes un jour, ce sera fini!
Entre nous deux, rien ne pourra plus rester
Même si tu viens, même si tu viens
Pour te faire pardonner
Je te préviens, je te le dis,
Si tu me trompes, ce ne sera pas gentil
Moi qui te fais tous tes menus préférés
Que tu dévores, que tu dévores
Jusqu´à te rassasier
Tes chemises bleues, tes costumes blancs
C´est moi qui lave et qui repasse tout ça
Quant à l´entretien de la maison
Chéri, n´en parlons pas, n´en parlons pas
J´y laisserai ma vie
Notre budget n´est pas trop grand
Il finit toujours avant la fin du mois
Et moi, pour joindre les deux bouts chaque fois,
Je fais de la, je fais de la
Couture et puis voilà!
Si, par malheur, t´es enrhumé
Je te soigne et te gâte comme un bébé
Trente-huit de fièvre, pour toi, c´est l´agonie
Tu crois alors, tu crois alors
Que tu vas en mourir
Tu fumes trop, t´as pas d´ pitié
Les cendres, les mégots, j´en suis obsédée
Les cendriers, pour toi, ça n´existe pas
C´est les tapis, c´est les tapis
Qui sont toujours ta proie
Quand tu invites les p´tits copains
Tu bois sans cesse jusqu´au petit matin
Le jour après tu n´ vas pas travailler
Car c´est ton foie, oui, c´est ton foie
Qu´il faut alors soigner!
Tu me donnes bien beaucoup d´ soucis
Mais sans toi, que serait p´t-être pour moi la vie?
Car malgré tes manies et ton caractère
Ça c´est petit, ça c´est petit
A côté du tonnerre!
Quand tu me dis avec ferveur
"Tu es ma femme et mon petit bouquet d´ fleurs"
Tu es pour moi, le mari dont j´ai rêvé
Avec tous tes défauts, chéri,
Avec toutes tes qualités
Moi, je te garderai ainsi
Comme tu es!