Van gogh
by PPFC
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Laissez-le tranquillement continuer son travail
Si c´est celui d´un fou ma foi tans pis
Il peint pour nous prouver que nous sommes bien sur les traces de Monticeli
Laissez-le tranquillement peindre
Laissez-le violemment éteindre
Les couleurs, le soleil, les champs de blé
Comme les oliviers s´allongent près des ciprés
Et sur la toile qui pèse, les tournesols flamboient
En attendant que ça vous plaise
Il se bat avec son pinceau et son couteau
C´est l´artiste le plus pommé à la ronde
Dans peu de temps vous verrez le plus cher du monde
Ouvrez les yeux et regardez Auvers-sur-Oise le beau rivage
Paris et Saint-Rémy Vincent vous peint comme jamais
Prenez, prenez tous ces tableaux
Une bouche (?) un mégot
Vous n´avez rien trouver de mieux à faire
Que de lui coller une pétition au derrière
La maison jaune a disparu avant que d´avoir vécu
Va bien falloir qu´il s´habitue son rêve d´atelier est perdu
C´est trop de peine à contenir, un bout d´oreille et puis salut
Ca sera pas la première fois qu´on lui claque la porte au nez
Que sa vie est morte et bien heureux les fous
Direction l´asile au moins là-bas tout est tranquille
La maison jaune a disparu avant que d´avoir vécu
La maison jaune a disparu avant que d´avoir vécu...
Si c´est celui d´un fou ma foi tans pis
Il peint pour nous prouver que nous sommes bien sur les traces de Monticeli
Laissez-le tranquillement peindre
Laissez-le violemment éteindre
Les couleurs, le soleil, les champs de blé
Comme les oliviers s´allongent près des ciprés
Et sur la toile qui pèse, les tournesols flamboient
En attendant que ça vous plaise
Il se bat avec son pinceau et son couteau
C´est l´artiste le plus pommé à la ronde
Dans peu de temps vous verrez le plus cher du monde
Ouvrez les yeux et regardez Auvers-sur-Oise le beau rivage
Paris et Saint-Rémy Vincent vous peint comme jamais
Prenez, prenez tous ces tableaux
Une bouche (?) un mégot
Vous n´avez rien trouver de mieux à faire
Que de lui coller une pétition au derrière
La maison jaune a disparu avant que d´avoir vécu
Va bien falloir qu´il s´habitue son rêve d´atelier est perdu
C´est trop de peine à contenir, un bout d´oreille et puis salut
Ca sera pas la première fois qu´on lui claque la porte au nez
Que sa vie est morte et bien heureux les fous
Direction l´asile au moins là-bas tout est tranquille
La maison jaune a disparu avant que d´avoir vécu
La maison jaune a disparu avant que d´avoir vécu...