Un chat qui miaule
by Renaud
lyricscopy.com
Monsieur le juge,
que l´on me juge,
sans trop d´sévérité
car sur mon âme,
c´qui fit le drame,
c´est la fatalité.
J´suis un vaurien,
oui je le sais bien,
mais tout d´même, jamais,
je n´aurais fait
c´qui m´mène ici,
sans ce chat maudit.
Un chat qui miaule,
j´vous jure ça fait drôle,
quand on cambriole sans bruit,
son cri s´élance,
tel une démence,
troublant le silence des nuits.
Un chat qui miaule,
c´est presque un symbole,
de la mort qui frôle la peau
comme un étau
qui vous tordrait le cœur,
on a peur.
Après l´étude
des habitudes
du richard de Neuilly,
par la fenêtre,
v´la que j´pénètre,
jusque devant son lit.
Dans le halo
de mon blanc falot
j´aperçois le magot.
Sous l´traversin,
j´avance la main,
quand sur le chemin...
Ce chat qui miaule,
j´vous jure ça fait drôle,
quand on cambriole sans bruit,
son cri s´élance,
tel une démence,
dans le grand silence des nuits.
Un chat qui miaule,
c´est comme symbole,
de la mort qui frôle la peau
comme un étau
qui vous tordrait le cœur,
j´ai eu peur.
Le vieux se dresse,
d´un bond d´détresse,
comme dans un cauchemar.
Sa gorge ronfle,
ses veines se gonflent,
il me fixe, hagard.
Son regard fouille,
mes idées qui grouillent
dans ma cervelle en feu,
quand tout à coup,
fermant les yeux,
j´ai serré son cou.
On cabriole,
notre lutte est folle,
et ce chat qui miaule plus fort,
son cri s´élance,
tel une démence,
troublant le silence de mort.
Un chat qui miaule,
c´est comme symbole,
de la mort qui frôle la peau.
Quand c´chat s´est tu
j´étais d´venu
soudain
assassin.
Monsieur le juge,
que l´on me juge,
sans trop d´sévérité
car sur mon âme,
c´qui fit le drame,
c´est la fatalité.
que l´on me juge,
sans trop d´sévérité
car sur mon âme,
c´qui fit le drame,
c´est la fatalité.
J´suis un vaurien,
oui je le sais bien,
mais tout d´même, jamais,
je n´aurais fait
c´qui m´mène ici,
sans ce chat maudit.
Un chat qui miaule,
j´vous jure ça fait drôle,
quand on cambriole sans bruit,
son cri s´élance,
tel une démence,
troublant le silence des nuits.
Un chat qui miaule,
c´est presque un symbole,
de la mort qui frôle la peau
comme un étau
qui vous tordrait le cœur,
on a peur.
Après l´étude
des habitudes
du richard de Neuilly,
par la fenêtre,
v´la que j´pénètre,
jusque devant son lit.
Dans le halo
de mon blanc falot
j´aperçois le magot.
Sous l´traversin,
j´avance la main,
quand sur le chemin...
Ce chat qui miaule,
j´vous jure ça fait drôle,
quand on cambriole sans bruit,
son cri s´élance,
tel une démence,
dans le grand silence des nuits.
Un chat qui miaule,
c´est comme symbole,
de la mort qui frôle la peau
comme un étau
qui vous tordrait le cœur,
j´ai eu peur.
Le vieux se dresse,
d´un bond d´détresse,
comme dans un cauchemar.
Sa gorge ronfle,
ses veines se gonflent,
il me fixe, hagard.
Son regard fouille,
mes idées qui grouillent
dans ma cervelle en feu,
quand tout à coup,
fermant les yeux,
j´ai serré son cou.
On cabriole,
notre lutte est folle,
et ce chat qui miaule plus fort,
son cri s´élance,
tel une démence,
troublant le silence de mort.
Un chat qui miaule,
c´est comme symbole,
de la mort qui frôle la peau.
Quand c´chat s´est tu
j´étais d´venu
soudain
assassin.
Monsieur le juge,
que l´on me juge,
sans trop d´sévérité
car sur mon âme,
c´qui fit le drame,
c´est la fatalité.