Aux portes du matin
by Richard Seguin
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Pour me sortir du chemin qui me conduit dans la poussière
Qui me retient et me fait taire, le long des saisons sans lumière
Pour me sortir des sommeils qui vont mentir jusqu´à offrir
Des paradis qui n´étaient rien, que terre brûlée, sans lendemain
Pour pardonner tous ces remords, qui n´ont jamais crier : "Colère"
Même sur les toits d´outre-mer, ivre mort à guetter l´aurore
Je frappe aux portes du matin, plus rien dans les mains
Je frappe aux portes du matin, pieds nus dans la rosée
Et plus rien à perdre... Oh! Oh! Oh! Oh! Oh! Oh! Oh! Oh! Oh! Oh!
Pour me sortir du remou qui nous entraîne coup sur coup
Sur des vitrines qui s´moquent de nous
Pendant qu´l´ennui sourit derrière
Pour sortir de la honte, un frisson froid que j´les revois
Lancer les cailloux du mépris, blesser la vie vaste et profonde
Je frappe aux portes du matin, plus rien dans les mains
Je frappe aux portes du matin, pieds nus dans la rosée
Et plus rien à perdre... Oh! Oh! Oh! Oh! Oh! Oh! Oh! Oh! Oh! Oh!
Je frappe aux portes du matin, plus rien dans les mains
Je frappe aux portes du matin, pieds nus dans la rosée
Et plus rien à perdre... Oh! Oh! Oh! Oh! Oh! Oh! Oh! Oh! Oh! Oh!
Qui me retient et me fait taire, le long des saisons sans lumière
Pour me sortir des sommeils qui vont mentir jusqu´à offrir
Des paradis qui n´étaient rien, que terre brûlée, sans lendemain
Pour pardonner tous ces remords, qui n´ont jamais crier : "Colère"
Même sur les toits d´outre-mer, ivre mort à guetter l´aurore
Je frappe aux portes du matin, plus rien dans les mains
Je frappe aux portes du matin, pieds nus dans la rosée
Et plus rien à perdre... Oh! Oh! Oh! Oh! Oh! Oh! Oh! Oh! Oh! Oh!
Pour me sortir du remou qui nous entraîne coup sur coup
Sur des vitrines qui s´moquent de nous
Pendant qu´l´ennui sourit derrière
Pour sortir de la honte, un frisson froid que j´les revois
Lancer les cailloux du mépris, blesser la vie vaste et profonde
Je frappe aux portes du matin, plus rien dans les mains
Je frappe aux portes du matin, pieds nus dans la rosée
Et plus rien à perdre... Oh! Oh! Oh! Oh! Oh! Oh! Oh! Oh! Oh! Oh!
Je frappe aux portes du matin, plus rien dans les mains
Je frappe aux portes du matin, pieds nus dans la rosée
Et plus rien à perdre... Oh! Oh! Oh! Oh! Oh! Oh! Oh! Oh! Oh! Oh!