Histoire de jeunesse
by Robert Lamoureux
lyricscopy.com
{Parlé:}
Histoire de jeunesse
C´est la chanson rigolote annoncée sur l´autre face du "dicse"
"Dicse" "dicse"! Enfin, sur l´autre côté du "dicse"
Du... du... bon! Allons-y : Histoire de jeunesse
{Chanté:}
Je n´étais encore qu´un tout frais jeune homme
Lorsque vos parents vinrent habiter
La même maison que celle où nous sommes
Mes parents et moi, depuis des années
Nous avions, je crois, presque le même âge
Vous aviez quinze ans et moi deux de plus
Mais j´étais alors en apprentissage
Pour apprendre quoi? ça, j´ m´en souviens plus
Vos yeux étaient bleus, aussi bleus qu´immenses
Votre taille fine et vos pieds petits
Vous chantiez souvent de douces romances
Que je rechantais, le soir, dans mon lit
J´avais - quel malheur - sur toute la figure
Des boutons énormes et d´un rouge très vif
Mais de ces boutons vous n´en n´aviez cure
Moi, j´en faisais une de dépuratif
J´ vous disais bonjour d´une voix timide
Quand je vous croisais dans les escaliers
Rien qu´à vous r´garder, j´avais l´œil humide
Je vous trouvais belle autant qu´une fée
J´adorais vot´ père, j´adorais vot´ mère
J´adorais vot´ chien, j´adorais vot´ chat
Et j´adorais même le propriétaire
Car c´est grâce à lui que vous étiez là
Et puis, je suis parti pour faire mon service
Quand je suis r´venu, vous étiez mariée
Vous aviez déjà un gosse en nourrice
Et à l´horizon, un autre pointait
Vous étiez, je crois, encore bien plus belle
Et je maudissais le destin mauvais
Avoir une femme et belle et fidèle
Ah, ce cochon d´ rival, quelle veine il avait!
J´ vous aimais toujours de même manière
J´étais jaloux d´ lui qui vous enlaçait
Il vous avait prise pour lui toute entière
Tous vos beaux trésors, il les connaissait
Il savait combien, combien vous êtes belle
Mais il ne saura certainement jamais
Que vous n´êtes pas toujours très fidèle
Et ça n´est pas moi qui le lui dirai
Histoire de jeunesse
C´est la chanson rigolote annoncée sur l´autre face du "dicse"
"Dicse" "dicse"! Enfin, sur l´autre côté du "dicse"
Du... du... bon! Allons-y : Histoire de jeunesse
{Chanté:}
Je n´étais encore qu´un tout frais jeune homme
Lorsque vos parents vinrent habiter
La même maison que celle où nous sommes
Mes parents et moi, depuis des années
Nous avions, je crois, presque le même âge
Vous aviez quinze ans et moi deux de plus
Mais j´étais alors en apprentissage
Pour apprendre quoi? ça, j´ m´en souviens plus
Vos yeux étaient bleus, aussi bleus qu´immenses
Votre taille fine et vos pieds petits
Vous chantiez souvent de douces romances
Que je rechantais, le soir, dans mon lit
J´avais - quel malheur - sur toute la figure
Des boutons énormes et d´un rouge très vif
Mais de ces boutons vous n´en n´aviez cure
Moi, j´en faisais une de dépuratif
J´ vous disais bonjour d´une voix timide
Quand je vous croisais dans les escaliers
Rien qu´à vous r´garder, j´avais l´œil humide
Je vous trouvais belle autant qu´une fée
J´adorais vot´ père, j´adorais vot´ mère
J´adorais vot´ chien, j´adorais vot´ chat
Et j´adorais même le propriétaire
Car c´est grâce à lui que vous étiez là
Et puis, je suis parti pour faire mon service
Quand je suis r´venu, vous étiez mariée
Vous aviez déjà un gosse en nourrice
Et à l´horizon, un autre pointait
Vous étiez, je crois, encore bien plus belle
Et je maudissais le destin mauvais
Avoir une femme et belle et fidèle
Ah, ce cochon d´ rival, quelle veine il avait!
J´ vous aimais toujours de même manière
J´étais jaloux d´ lui qui vous enlaçait
Il vous avait prise pour lui toute entière
Tous vos beaux trésors, il les connaissait
Il savait combien, combien vous êtes belle
Mais il ne saura certainement jamais
Que vous n´êtes pas toujours très fidèle
Et ça n´est pas moi qui le lui dirai