Ceux qui sont en laisse
by Saez
lyricscopy.com
Tu voulais du médiocre et moi j´en avais pas
Tu voulais l´univers et moi j´avais que moi
Tu voulais le silence quand j´étais que musique
Qu´on marche parallèle quand j´allais qu´à l´oblique
Tu voulais des rivières au milieu du désert
Tu voulais des voyages moi j´étais sédentaire
Que je fasse des chansons qui m´emmènent au sourire
J´y peux rien moi je n´ai que des larmes à leur dire
Et des plaines de pluie pour unique empire
Quand je serai parti que lira mes poèmes
Un autre romantique qui se verra en moi
il se dira s´en doute oh c´est beau comme il l´aime
Mais qu´il sache que je n´ai jamais aimé que moi
Qu´au lit ou dans le coeur l´égoïsme est la mère des générosités
Que les femmes me pardonnent de n´être fait pour elles
D´être comme un nuage qui recherche son ciel
De n´être qu´un navire toujours à la détresse
Et cette envie de fuir de ceux qui sont en laisse
Pardonnez moi vous tous qui vous liez les mains
Vous qui pensez qu´à deux vous ferez mieux le chemin
Vous qui pensez que l´autre vous sauvera la peau
Alors que de votre âme il fera des lambeaux
En amour que l´on soit le plus grand des guerriers
Ou la triste brebis qui cherche le berger
On finit tous à terre à chercher les morceaux
Au bord du précipice à deux pas du grand saut
A deux pas du tombeau.
Tu voulais l´univers et moi j´avais que moi
Tu voulais le silence quand j´étais que musique
Qu´on marche parallèle quand j´allais qu´à l´oblique
Tu voulais des rivières au milieu du désert
Tu voulais des voyages moi j´étais sédentaire
Que je fasse des chansons qui m´emmènent au sourire
J´y peux rien moi je n´ai que des larmes à leur dire
Et des plaines de pluie pour unique empire
Quand je serai parti que lira mes poèmes
Un autre romantique qui se verra en moi
il se dira s´en doute oh c´est beau comme il l´aime
Mais qu´il sache que je n´ai jamais aimé que moi
Qu´au lit ou dans le coeur l´égoïsme est la mère des générosités
Que les femmes me pardonnent de n´être fait pour elles
D´être comme un nuage qui recherche son ciel
De n´être qu´un navire toujours à la détresse
Et cette envie de fuir de ceux qui sont en laisse
Pardonnez moi vous tous qui vous liez les mains
Vous qui pensez qu´à deux vous ferez mieux le chemin
Vous qui pensez que l´autre vous sauvera la peau
Alors que de votre âme il fera des lambeaux
En amour que l´on soit le plus grand des guerriers
Ou la triste brebis qui cherche le berger
On finit tous à terre à chercher les morceaux
Au bord du précipice à deux pas du grand saut
A deux pas du tombeau.