Comme une fille
by Saï Saï
lyricscopy.com
De Paname à Brooklyn, à Kingston
Toutes les avenues se ressemblent dans Babylone
Derrière le calme, la routine y a des drames
La violence urbaine sur le macadam
Les chansons anti-policières ne datent pas d´hier
Tu contestes, t´es à terre
Les artistes mordent la poussière on ne peut les faire taire
Les messages passent les frontières
Les brûleurs de livres n´aiment pas les chansons
Aimeraient voir les artistes en prison
Même les barreaux ne freinent pas les opinions
Du verbe, du son contre l´oppression
Campagne ou ville, la paix est fragile
Vigipirate comme guerre civile
Mais comme une fille, la rue s´démaquille
La pression fait tomber les vitrines
Comme une fille, la rue s´déshabille
Devient une menace et le pouvoir en place
Se la prend dans la gueule
Paris, Kingston, jardins de Babylone
Quand le sang y coule la mort y roucoule
Une fleur dans la gueule
Banlieue Strasbourg compte à rebours
Les voitures s´enflamment les soldats en armes
Font excès de zèle alors jets de cocktails
Molotov dans leur gueule
Paris ou Nantes, les rues sont patientes
Paris, Marseille, les rues sont pareilles
Paris, Kingston, jardins de Babylone
Campagne ou ville, la paix est fragile
Paname, Brooklyn sur le même riddim
Brixton, Barbès, le même stress
Dans toutes les villes où la vie n´est pas facile
New-York, Montreuil, trop souvent en deuil
Banlieue Strasbourg compte à rebours
Comme une fille la rue s´déshabille
Devient comme une menace
Et le pouvoir en place
Se la prend dans la gueule.
Toutes les avenues se ressemblent dans Babylone
Derrière le calme, la routine y a des drames
La violence urbaine sur le macadam
Les chansons anti-policières ne datent pas d´hier
Tu contestes, t´es à terre
Les artistes mordent la poussière on ne peut les faire taire
Les messages passent les frontières
Les brûleurs de livres n´aiment pas les chansons
Aimeraient voir les artistes en prison
Même les barreaux ne freinent pas les opinions
Du verbe, du son contre l´oppression
Campagne ou ville, la paix est fragile
Vigipirate comme guerre civile
Mais comme une fille, la rue s´démaquille
La pression fait tomber les vitrines
Comme une fille, la rue s´déshabille
Devient une menace et le pouvoir en place
Se la prend dans la gueule
Paris, Kingston, jardins de Babylone
Quand le sang y coule la mort y roucoule
Une fleur dans la gueule
Banlieue Strasbourg compte à rebours
Les voitures s´enflamment les soldats en armes
Font excès de zèle alors jets de cocktails
Molotov dans leur gueule
Paris ou Nantes, les rues sont patientes
Paris, Marseille, les rues sont pareilles
Paris, Kingston, jardins de Babylone
Campagne ou ville, la paix est fragile
Paname, Brooklyn sur le même riddim
Brixton, Barbès, le même stress
Dans toutes les villes où la vie n´est pas facile
New-York, Montreuil, trop souvent en deuil
Banlieue Strasbourg compte à rebours
Comme une fille la rue s´déshabille
Devient comme une menace
Et le pouvoir en place
Se la prend dans la gueule.