Le merveilleux moulin
by Serge Davignac
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Le seul maître à bord après Dieu
Le vieux forain de ma chanson
N´entend plus gueuler l´orphéon
Il y a longtemps qu´il se fait vieux
Pour sûr qu´il fait le tour du Monde
Il connaît tous les coins perdus
De Shangai à Honolulu
Depuis des siècles, il vagabonde
Et comme s´il avait découvert
La fabuleuse Île au Trésor
Il semble aller de port en port
Plus fier qu´un écumeur des mers
{Refrain:}
Tourne, tourne encore
Mon merveilleux moulin
Joue mais joue plus fort
Ta musique de rien
Il tournera toujours pareil
Menant sur ses chevaux vernis
De grands enfants tout éblouis
À la conquête de merveilles
Lui qui leur fait tourner la tête
Qui n´en finit pas de jouer
Ses airs de carton perforé
Qui sentent bon les jours de fête
Lui qui vient du diable vauvert
Finir sa ronde des saisons
Et planter là son pavillon
Comme pour me vieillir d´un hiver
{au Refrain}
On a démonté le moulin
Et je n´ai pour me consoler
Que l´espoir de me rappeler
Ses cris d´enfants et ses refrains
Devant ce monde qui s´écroule
Sur un tapis de confettis
J´ai beau noyer ma nostalgie
J´ai beau me perdre dans la foule
J´entends des rires, j´entends des voix
Et j´entends gueuler l´orphéon
Le vieux forain de ma chanson
Qui fait valser ses chevaux d´ bois
{au Refrain}
La la la...
Le vieux forain de ma chanson
N´entend plus gueuler l´orphéon
Il y a longtemps qu´il se fait vieux
Pour sûr qu´il fait le tour du Monde
Il connaît tous les coins perdus
De Shangai à Honolulu
Depuis des siècles, il vagabonde
Et comme s´il avait découvert
La fabuleuse Île au Trésor
Il semble aller de port en port
Plus fier qu´un écumeur des mers
{Refrain:}
Tourne, tourne encore
Mon merveilleux moulin
Joue mais joue plus fort
Ta musique de rien
Il tournera toujours pareil
Menant sur ses chevaux vernis
De grands enfants tout éblouis
À la conquête de merveilles
Lui qui leur fait tourner la tête
Qui n´en finit pas de jouer
Ses airs de carton perforé
Qui sentent bon les jours de fête
Lui qui vient du diable vauvert
Finir sa ronde des saisons
Et planter là son pavillon
Comme pour me vieillir d´un hiver
{au Refrain}
On a démonté le moulin
Et je n´ai pour me consoler
Que l´espoir de me rappeler
Ses cris d´enfants et ses refrains
Devant ce monde qui s´écroule
Sur un tapis de confettis
J´ai beau noyer ma nostalgie
J´ai beau me perdre dans la foule
J´entends des rires, j´entends des voix
Et j´entends gueuler l´orphéon
Le vieux forain de ma chanson
Qui fait valser ses chevaux d´ bois
{au Refrain}
La la la...