Notre folle jeunesse
by Serge Rezvani
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Chaque jour qui vient
Je me sens comme ça
Noyé de tristesse
Tout le jour pour rien
Que restera-t-il
De notre jeunesse
Notre folle jeunesse?
En toi, toutes les amantes
Réunies à la fois
En un seul corps pour moi
Vibrante et adorante
Mais une pensée me hante
Se pourrait-il que sans moi
Si je meurs avant toi
De vivre encore t´enchante?
J´y pense chaque fois
Et je n´y puis rien
Chaque fois que tu te
Blottis dans mes bras
Qu´il ne restera rien
De notre jeunesse
Notre folle jeunesse
À force de vivre ensemble
De toujours tout partager
N´être jamais séparés
Paraît-il qu´on se ressemble
Mais une pensée me hante
Que deviendrais-je sans toi?
Sans toi, toi qui es moi
Ma vie serait une mort lente
Donne-moi tes mains
Donne-moi tes mains
Songe que demain
Nous ne serons plus là
Qu´il ne restera rien
De notre jeunesse
Notre folle jeunesse
Et mon amour s´augmente
Du moindre geste de toi
Toujours nouveau pour moi
Chaque jour te réinvente
Mais une pensée me hante
Ne restera t-il vraiment rien
De nous, ô mon indolente,
De notre amour, vraiment rien?
Je me sens comme ça
Noyé de tristesse
Tout le jour pour rien
Que restera-t-il
De notre jeunesse
Notre folle jeunesse?
En toi, toutes les amantes
Réunies à la fois
En un seul corps pour moi
Vibrante et adorante
Mais une pensée me hante
Se pourrait-il que sans moi
Si je meurs avant toi
De vivre encore t´enchante?
J´y pense chaque fois
Et je n´y puis rien
Chaque fois que tu te
Blottis dans mes bras
Qu´il ne restera rien
De notre jeunesse
Notre folle jeunesse
À force de vivre ensemble
De toujours tout partager
N´être jamais séparés
Paraît-il qu´on se ressemble
Mais une pensée me hante
Que deviendrais-je sans toi?
Sans toi, toi qui es moi
Ma vie serait une mort lente
Donne-moi tes mains
Donne-moi tes mains
Songe que demain
Nous ne serons plus là
Qu´il ne restera rien
De notre jeunesse
Notre folle jeunesse
Et mon amour s´augmente
Du moindre geste de toi
Toujours nouveau pour moi
Chaque jour te réinvente
Mais une pensée me hante
Ne restera t-il vraiment rien
De nous, ô mon indolente,
De notre amour, vraiment rien?